jeudi 14 janvier 2021


 New variants, new measures



    With all new coronavirus variants, the United Kingdom will close all its borders from 4 a.m. local time Monday and this measure will be in place for at least one month. Prime Minister Boris Johnson announced it in a press conference saying that closing the border is the only way for the United Kingdom to handle the crisis. Measures apply to all travelers, including British and Irish nationals and will be reviewed on February 15. People who really have to go to the UK must be in possession of a proof of a negative Covid test taken in the 72 hours before leaving. They must also have filled in a passenger locator form. The prime minister said that airlines companies will ask for proof of both before any airplane takes off.


        Nouveaux variants, nouvelles mesures

Avec toutes les nouvelles variantes de coronavirus, le Royaume-Uni fermera toutes ses frontières à partir de 4 heures du matin, heure locale, lundi et cette mesure sera en place pendant au moins un mois. Le Premier ministre Boris Johnson l'a annoncé lors d'une conférence de presse, affirmant que la fermeture de la frontière était le seul moyen pour le Royaume-Uni de gérer la crise. Les mesures s'appliquent à tous les voyageurs, y compris aux ressortissants britanniques et irlandais, et seront réexaminées le 15 février. Les personnes qui doivent vraiment se rendre au Royaume-Uni doivent être en possession d'une preuve d'un test Covid négatif passé dans les 72 heures précédant le départ. Ils doivent également avoir rempli un formulaire de localisation de passagers. Le Premier ministre a déclaré que les compagnies aériennes demanderaient une preuve des deux avant le décollage de tout avion.

samedi 19 décembre 2020



Brexit: What changes will it bring?

Thursday 17 December

Following Brexit, many changes are planned, in various areas, as of 2021.

Regarding trade, if a commercial agreement is confirmed, it will facilitate various things such as customs clearance. Without it, businesses will have to pay customs taxes on goods bought and sold across EU borders, increased costs and significant delays in port logistics. In addition, discussions appear to be still difficult, as in the fishery sector where the United Kingdom demands significant taxes on catches made in British waters, thus potentially damaging coastal commercial activity in many EU countries.

The free movement of people will end on January 1, 2021. A points-based immigration system for EU citizens will be put in place. Ehics (European Health Card) issued in the UK will no longer be valid within the UE.

Regarding pensions, two options are possible. With people already living in the EU and receiving a public pension in the UK, the latter will increase annually based on the triple lock criteria. In addition, people moving to the EU after January, will still be able to benefit from their public pension, the amount of which will depend on the results of the negotiations.

Healthcare will not undergo any changes for UK citizens living in the EU until the end of 2020 as well as EU citizens living in the UK. However, the situation is still unclear for people moving after January 1, 2021.

Finally, mobile operators haven’t planned to reintroduce roaming charges but would be allowed to if they wanted to do so, as British users will no longer be protected by European law.



Brexit : Quels changements va-t-il apporter ?

Jeudi 17 décembre

Suite au Brexit, de nombreux changements sont prévus à compter de 2021 dans divers domaines.

Sur le plan commercial, si un accord est trouvé, cela permettra de faciliter différents éléments tels que le passage douanier. Sans cela, les entreprises devront payer des taxes de douanes sur les marchandises achetées et vendues à l’Union Européenne et seront confrontées à une augmentation des coûts et d’importants retards dans la gestion logistique portuaire. Les discussions paraissent être encore difficiles, tout comme dans le secteur de la pêche pour lequel le Royaume-Uni exige d’importantes taxes sur les captures effectuées dans les eaux britanniques, pouvant ainsi nuire à l’activité commerciale des zones côtières de nombreux pays de l’UE.

La libre circulation des personnes prendra fin le 1er janvier 2021. Un système d'immigration basé sur des points sera mis en place pour citoyens de l'UE. Les Ehics (cartes européennes d’assurance santé) émises au Royaume-Uni ne seront plus valides au sein de l’UE sauf pour les étudiants et ceux habitant au sein de l’UE avant la fin de 2020.

Les voyageurs accompagnés d’animaux seront confrontés à une logistique plus complexe. Le passeport de ces derniers n’étant plus valable, il faudra se munir d’un certificat de santé animale lors de voyages à l’étranger, dont l’obtention prendra en moyenne trois mois après avoir réalisé une prise de sang sur l’animal.

Les citoyens britanniques pourront conduire en Europe, à la condition qu’ils disposent d’une carte verte prouvant qu’ils sont assurés. Celle-ci nécessitera un délai d’un mois et sera disponible auprès des assureurs automobiles.

Concernant les retraites, deux cas sont possibles. Pour les personnes vivant déjà dans l’UE et touchant une retraite publique au Royaume-Unis, cette dernière augmentera annuellement sur la base des critères du triple lock. Par ailleurs, les personnes déménageant vers l’UE après janvier pourront toujours bénéficier de leur retraite publique dont le montant dépendra des négociations.

Les soins de santé ne subiront aucun changement pour les citoyens britanniques vivant dans l'UE avant la fin de 2020 ainsi que les citoyens européens vivant au Royaume-Uni. En revanche, la situation reste encore floue pour les personnes déménageant après le 1er janvier 2021.

Enfin, les opérateurs mobiles n’ont pas prévu de réintroduire de charges d’itinérance mais cela deviendrait possible s’ils le souhaitent puisque les utilisateurs britanniques ne seront plus protégés par la loi européenne.

ASIA

SOURCE : https://www.theguardian.com/politics/2020/dec/13/brexit-what-change-1-january-2021-people-uk

jeudi 10 décembre 2020

An unusual world first

After months of research, the UK launched the campaign of the first coronavirus vaccines to the public, making it the first country to vaccinate people with a treatment that has passed complete testing. It all came “true” last week when the Pfizer-BioNTech vaccine received emergency approval from the UK drug regulatory agency. Tuesday 8 December, Margaret Keenan, who will turn 91 next week, made history as the first person in the world to receive the Pfizer-BioNTech vaccine outside the conditions of the trial. The vaccine is very important for the entire population in order to emerge from this crisis and especially for the elderly who, in addition to being the most at risk and vulnerable population, have spent most of the year alone and far from their families. Due to the limited quantities of the vaccine, it will first be administered to frontline health workers, nursing home workers and people over 80 years old before being given more widely to the rest of the population. Tuesday marked the starting signal for the "beginning of the end" of the coronavirus.

Une première mondiale pas comme les autres

Après des mois de recherches, le Royaume-Uni a lancé sa première campagne de vaccination publique contre le coronavirus, ce qui en fait le premier pays à utiliser un vaccin ayant subi des tests complets. Tout s'est concrétisé la semaine dernière lorsque le vaccin Pfizer-BioNTech a reçu l'approbation d'urgence de l'agence britannique de réglementation pharmaceutique. En effet, ce mardi 8 décembre, Margaret Keenan, qui aura 91 ans la semaine prochaine, est entrée dans l'histoire en tant que première personne au monde à recevoir le vaccin Pfizer-BioNTech en dehors des tests d'essais. Le vaccin est très important pour toute la population afin de sortir de la crise et spécialement pour les personnes âgées qui sont non seulement les plus vulnérables, mais ont également passé la majeure partie de l'année seules loin de leur famille. Les quantités du vaccin étant limitées au début, il sera d'abord administré aux agents de santé de première ligne, aux travailleurs des foyers de soins et aux personnes de plus de 80 ans avant de concerner le reste de la population du Royaume-Uni. La vaccination donne enfin le signal de départ du « début de la fin » du coronavirus.

 

Aurore

Source : 

https://www.cnbc.com/2020/12/07/uk-to-rollout-covid-vaccine-tuesday.html#close



jeudi 19 novembre 2020

Oxford in the vaccine race


In Oxford, the search for a covid-19 vaccine began in January and was completed in less than three months, to begin human trials in April (first global trials). So far, results from phase two show a strong positive immune response in adults aged from 55 to 70 and older. Their immune system being weaker than younger people’s, the similar results to those obtained by people between 18 and 55 would indicate that the vaccine could treat people of any age. Indeed, two weeks after the second dose, over 99% of participants had neutralizing antibody responses. In total, the tests were made on 560 people.


Phase three trials of the vaccine, which are examining its effectiveness in protecting people against Covid-19 by preventing it from growing, began at the end of August and are still in progress. The first results are expected in the coming weeks. For now, three vaccines: Pfizer-BioNTech, Sputnik and Moderna have already had almost all of the results of phase three trials. One suggesting that 94% of those over 65 could be protected against Covid-19. Without results from phase three, the Oxford vaccine is not a direct competitor but might become one.

In fact, it would be easier to produce and deploy globally because it doesn’t need to be stored at very low temperatures unlike the other potential vaccines. Furthermore, Oxford University is committed to make hundreds millions of doses available to developing countries if it’s validated.


Fun fact :) The Oxford vaccine is made from a restricted version of a chimpanzee cold virus (adenovirus).


Oxford dans la course au vaccin


À Oxford, la recherche d’un vaccin contre le covid-19 a commencé dès janvier et a été mise au point en moins de trois mois, pour commencer les essais sur l'homme en avril (premiers essais mondiaux). Jusqu’à présent, les résultats de la phase deux montrent une forte réponse positive du système immunitaire des adultes de 55 à 70 ans et plus. Celui-ci étant plus faible de base que chez les personnes plus jeunes, les résultats similaires à ceux obtenus par des personnes de 18 à 55 indiqueraient que le vaccin pourrait traiter les personnes de tout âge. Effectivement, deux semaines après la deuxième dose, plus de 99% des participants avaient des réponses d'anticorps neutralisants. Au total, les tests ont été réalisés sur 560 personnes. 


Les essais de phase trois du vaccin, qui examinent son efficacité à protéger les gens contre le Covid-19 en empêchant celui-ci de se développer, ont débuté à la fin du mois d'août et se poursuivent toujours. Les premiers résultats sont attendus dans les prochaines semaines. Pour le moment, trois vaccins : Pfizer-BioNTech, Sputnik et Moderna ont déjà eu la presque totalité des résultats des essais de phase trois. L'un suggérant que 94% des plus de 65 ans pourraient être protégés contre Covid-19. N’ayant pas encore les résultats de la phase trois, le vaccin d'Oxford n’est pas un concurrent direct mais pourrait le devenir.

En effet, il serait plus facile à fabriquer et à déployer à l’échelle mondiale car il n'a pas besoin d'être conservé à de très basses températures contrairement aux autres potentiels vaccins. De plus, l’université d’Oxford s’est engagée à mettre des centaines de millions de doses à la disposition des pays en développement s'il est validé.


Fun fact :)  Le vaccin d’Oxford est fabriqué à partir d'une version restreinte d'un virus du rhume de chimpanzés (adénovirus).

Aurore

Source : https://www.bbc.com/news/health-54993652


jeudi 12 novembre 2020

Will banning online junk food ads curb obesity rates?


 

It is well-known children love eating junk food more than anything else and their parents are afraid cause it can affect their health.

One in three children leaving primary school are overweight or obese. So, the health secretary Matt Hancock wanted to changed that last summer. Yet, Boris Johnson has introduced even tougher restrictions by banning all online junk food advertising, a personal decision following his coronavirus infection. In the Prime Minister’s opinion being overweight increases the risk of having a more serious form of COVID 19.

Some health campaigners said that this would be a world-leading policy to improve children’s health.

But banning junk food could have a lot of consequences because it’s not even sure that the toughest digital marketing restrictions in the world will prove efficient. The only thing that is sure is that it will affect digital marketing such as ads on Facebook or text message publicity. 

The new rules will be set up by the Advertising Standards Authority who has the power to ban whoever breaks the UK code.

 

La malbouffe interdite de publicité sur internet

 

Comme on le sait, les enfants passent leur temps à consommer de la nourriture malsaine et leurs parents craignent qu'elle puisse être dangereuse pour leur santé.

Un enfant sur trois qui quitte l'école primaire est en surpoids ou obèse.

Le Secrétaire d’Etat à la Santé Matt Hancock voulait changer cela de manière simple cet été. Mais, sur décision personnelle de Boris Johnson à la suite de son infection au coronavirus, les nouvelles règles se sont avérées encore plus restrictives : toute publicité en ligne pour des aliments gras sera désormais interdite.

De l'avis même du Premier ministre, le surpoids augmente le risque de contracter une forme plus sévère de la COVID 19.

Certains militants de la santé ont déclaré que ce serait une politique mondiale de pointe pour améliorer la santé des enfants.

Cependant, l’interdiction de la malbouffe pourrait avoir de nombreuses conséquences, en imposant des contraintes drastiques au marketing numérique qui affecteront les publicités sur Facebook ou les promotions par SMS sans être sûr de leur efficacité.

 

Les nouvelles règles seront établies par l’Advertising Standards Authority qui a le pouvoir d'interdire quiconque enfreint le code britannique.

 

Alyssa 

 

Tue 10 Nov 2020

link: https://amp.theguardian.com/media/2020/nov/10/uk-to-ban-all-online-junk-food-advertising-to-tackle-obesity


jeudi 5 novembre 2020

                           England opts for new lockdown

 

On Saturday October 31, UK Prime Minister, Boris Johnson announced a new national lockdown from Thursday November 5 to December 2. A series of tough measures will accompany this decision to protect the population from new Covid-19 infections.

Shops, non-essential places, and all restaurants will be closed unlike schools, middle schools, and universities, which will remain open. Outings will only be permitted for specific reasons, such as work, buying food or essentials, as well as making medical appointments. Moreover, outings for exercise or caring for vulnerable people will also be permitted.

Vulnerable and elderly people should be particularly careful and minimize their social contact. Government insiders said the current measures may ultimately be maintained depending on the regions.

In addition, workers will benefit from an extension of the furlough scheme thanks to which the state, will pay 80% of their wages during this period.

A little over a month ago, the UK was averaging 4,964 new cases per day with 1,502 Covid patients in hospital and 28 deaths. On Friday October 30, there were over four times more cases (21,915), over six times more Covid patients (10,000) and over eleven times more deaths (326) across the UK.

 

L’Angleterre opte pour un nouveau confinement

Le Samedi 31 octobre, le premier ministre britannique, Boris Johnson a annoncé la mise en place d’un nouveau confinement national du jeudi 5 novembre au 2 décembre. Pour accompagner cette décision, une série de mesures strictes seront également mises en place à cette date afin de prémunir la population contre de nouvelles infections à Covid-19.

Les magasins, les lieux non essentiels ainsi que l’ensemble des restaurants seront fermés. Les écoles, collèges et universités quant à eux resteront ouverts. Les sorties ne seront autorisées que pour des raisons spécifiques, telles que le travail, l’achat de nourriture ou de produits essentiels, ou encore un rendez-vous médical. De plus, les sorties destinées à faire de l’exercice ou à s’occuper de personnes vulnérables seront également autorisées.

Les personnes vulnérables et âgées doivent être particulièrement prudentes et minimiser leurs contacts sociaux. Des sources gouvernementales ont déclaré que les mesures actuelles pourraient, à terme, être maintenues en fonction des régions.

De plus, les travailleurs bénéficieront d'une prolongation du régime de congé grâce à laquelle l'État paiera 80 % de leur salaire pendant cette période.

Il y a un peu plus d'un mois, le Royaume-Uni enregistrait en moyenne 4 964 nouveaux cas par jour avec 1 502 patients Covid à l'hôpital et 28 décès. Le vendredi 30 octobre, il y avait plus de quatre fois plus de cas (21 915), plus de six fois plus de patients Covid (10 000) et plus de onze fois plus de décès (326) à travers le Royaume-Uni.

ASIA

Source : https://www.theguardian.com/world/2020/oct/31/johnsons-u-turn-puts-country-under-tough-new-lockdown

jeudi 15 octobre 2020

 

8 days of oblivion

 

    From September 25 to October 2, the wrong utilization of Microsoft's Excel software by Public Health England (PHE) caused a huge loss of data on Covid-19. Indeed, for 8 days, 15.841 cases of coronavirus were not reported in England, nearly 1980 forgotten cases per day. Knowing that it takes approximately 48 hours to determine contact cases, this error has compromised the monitoring of chains of contamination.


    The problem comes from the fact that the people responsible for classifying the case data used an old Excel file format dating back to 1987. Note that each test result created several lines of data. As a result, each model could only handle around 65,000 rows of data rather than the million plus rows that today's Excel is actually capable of. Each case taking multiple lines, when the 65,000 were reached the remaining cases were not recorded.




16.000 cas de coronavirus non recensés

 

    Du 25 septembre au 2 octobre dernier, la mauvaise utilisation du logiciel Excel de Microsoft par Public Health England (PHE) a provoqué une énorme perte de données sur la Covid 19. En effet durant 8 jours, 15841 cas de coronavirus n'ont pas été signalés en Angleterre soit près de 1980 cas oubliés par jours. Sachant qu’il faut environ 48h pour déterminer les cas contacts, cette erreur a mis en péril le suivi des chaînes de contamination.


    Le problème vient du fait que les personnes chargées du classement des données de cas ont utilisé un ancien format de fichier d'Excel qui remonte à 1987. 

Il faut savoir que chaque résultat de test créait plusieurs lignes de données. En conséquence, chaque modèle ne pouvait gérer qu'environ 65.000 lignes de données plutôt que le million de lignes minimum que le Excel actuel est capable de gérer. Chaque cas prenant plusieurs lignes, lorsque les 65.000 ont été atteints les cas restants n’ont pas été enregistrés.

 

AURORE

 


Source : https://www.bbc.com/news/technology-54423988

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