mardi 10 février 2009

Homeless offered a home

Friday 30 January

Homeless offered a home

Scaffolder Nigel walker, 48 , set up his camp on a roundabout after becoming homeless. He has been living on this place to protest in Pembroke Dock to play up the tough issue of homelessness. He said “They split families up to go in hostels. The mother and kids go in one and the husband goes in another one.” He has been offered temporary accommodation, after he had asked for help when the weather forecast was threatening. He wasn’t a priority case to be rehoused but he demanded local authorities find him a house or he would drop dead on the roundabout. In his two week on the roundabout he has suffered frostbite and twice been attacked, but he also was supported by local people who have donated equipment, food, water. On Thursday, the council offered a safe place to Nigel Walker while he assessed the latest details of his situation. However, he’s not sure to leave definitely the roundabout as the rehousing problem in the Pembrokeshire still needs highlighting.

My point of view

This special fact about this homeless is a way to talk about the hard issue rehousing. They consider either people “priority case” or “no priority” but someone who lives in the street is obviously a priority case, no priority difference should be existing.

I also think that the man is right when he say that families are split. Sure, they have places to live but being alone is never easy to make it out.

http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/wales/south_west/7859447.stm

Vendredi 30 janvier

Un sans abri revendique

Un monteur d’échafaudages Nigel Walker, 48 ans, a installé son campement sur un rond-point après être devenu sans-abri. Il vit sur ce rond-point de Pembroke Dock pour protester contre le sort fait aux sans abris. «Ils séparent les familles dans les foyers. La mère et les enfant dans un et le mari dans un autre.»

Les autorités lui ont offert une place dans un logement protégé, après sa demande d’aide lorsque les prévisions météos s’annonçaient menaçantes. Il n’était pas considéré comme un cas prioritaire pour être relogé mais il a menacé « soit ils me trouvent un logement, soit je vais mourir ici ». Durant ses deux semaines sur le rond point il a subi deux agressions et souffert d’engelures, mais il a aussi été aidé par des riverains qui lui ont donné de l’équipement, de la nourriture et de l’eau. Jeudi, le conseil lui a offert une place dans un foyer pendant qu’ils examinaient son dossier. Il n’est cependant pas encore sûr de quitter définitivement le rond-point tant que les problèmes de relogement dans le Pembrokeshire auront encore besoin d’être soulignés.

Mon point de vue

Ce cas particulier de sans abri est une manière d’aborder encore le sujet difficile du relogement. Ils considèrent des cas prioritaires et d’autres non prioritaires mais une personne qui vit dans le rue est forcément un cas prioritaire, il ne devrait pas y avoir de différence entre les différents cas.

Je pense aussi que cet homme a raison quand il parle des familles séparées. Bien sûr, ils ont un foyer où vivre, mais être seul ne rend pas les choses plus faciles pour s’en sortir.

http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/wales/south_west/7859447.stm

Alice


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