mercredi 13 mai 2020

Family gatherings in question

Dr Jenny HarriesEngland's deputy chief medical officer, has said that allowing family gatherings is an "important public health issue” but that it could provide a "mental health boost".
But she affirmed that you will probably end up effectively with quite a large gathering if two large families wanted to meet.
Restrictions on how many people you are allowed to meet remain in place but some lockdown measures have been eased.
Currently large gatherings of people are banned but as long as they stay more than two meters apart two people from different households can meet in outdoor settings, such as parks.
Dr Harries was asked at the daily No 10 briefing earlier, whether this could be expanded to allow different households to meet as "bubbles" or "clusters".
She said that for people who have been on their own or who are isolated from others, such a move would be particularly beneficial for them.
But she added that any such step had to be "fair" and "consistent with public health advice".
"I think it's really important that we think through the implications of that, particularly across families in different circumstances. If your family is far away, for example, you may be less able to do that.”
Understandably meeting up with family is something we miss dearly.
In England the government try to allow people to meet outside but there are still huge coronavirus risks for grandparents and grandchildren.
The average 80-year-old has a nearly one in 10 chance of dying if they are infected, whereas for children the risk is virtually zero.
It’s not about personal risk but the fact that around a quarter of people over 70 who are infected need hospital treatment.

Réunions de famille autorisées sous condition

Le Dr Jenny Harries, médecin chef adjoint anglais a déclaré qu'autoriser les réunions de famille est un "problème de santé publique important", mais que cela pourrait "améliorer la santé mentale".
Mais elle a affirmé que si deux grandes familles venaient à se réunir cela créerait probablement un assez grand rassemblement.
Les restrictions sur le nombre de personnes autorisées à rencontrer restent en place, mais certaines mesures de confinement ont été assouplies.
Actuellement, les grands rassemblements de personnes sont interdits, mais tant qu'ils restent à plus de deux mètres l'un de l'autre, deux individus peuvent se rencontrer dans des environnements extérieurs, tels que des parcs.
Lors du point de presse quotidien au 10 Downing Street (résidence du Premier Ministre), la question a été posée de savoir si cela pouvait être étendu pour permettre à différentes familles de se réunir sous forme de "bulles" cloisonnées et protégées de l’extérieur.
Le Dr Harries a dit qu’une telle décision serait particulièrement bénéfique pour les personnes qui étaient seules ou isolées les unes des autres, Mais elle a ajouté que toute mesure de ce type devait être "équitable" et "conforme aux conseils de santé publique".
"Je pense qu'il est vraiment important que nous réfléchissions aux implications, en particulier entre les familles dans des circonstances différentes. Si votre famille est loin, par exemple, vous pourriez être moins en mesure de le faire."
Rencontrer la famille est quelque chose qui nous manque beaucoup.
En Angleterre, le gouvernement essaie d'autoriser les gens à se réunir à l'extérieur, mais il y a encore d'énormes risques de coronavirus pour les grands-parents et les petits-enfants.
La personne moyenne de 80 ans a près d'une chance sur 10 de mourir si elle est infectée, alors que pour les enfants, le risque est pratiquement nul.
Il ne s’agit pas de risques personnels mais du fait qu’environ un quart des personnes de plus de 70 ans infectées ont besoin d’un traitement hospitalier.
Raluca

samedi 2 mai 2020

Keeping up child vaccination
NHS England says it is still offering essential vaccinations and is appealing to parents not to miss appointments for their children during the pandemic.
The childhood immunization programme protects against diseases including whooping cough, measles and meningitis.
People are allowed to visits clinics and GP surgeries as long as none of them is experiencing symptoms of Covid-19.
The vaccination numbers routine had seen a small drop, had said the Public Health Wales this week.
Some of the vaccinations routinely given in schools are currently suspended, such as the human papillomavirus (HPV) jab offered to older children, may be available from individual clinics.
Dr. Mary Ramsay, head of immunizations at Public Health England said: "The national immunization programme remains in place to protect the nation's health and no-one should be in any doubt of the devastating impact of diseases such as measles, meningitis and pneumonia,".
"During this time, it is important to maintain the best possible vaccine uptake to prevent a resurgence of these infections."
As result of vaccination delays due to the pandemic, future measles outbreaks around the world UNICEF warned last month.
'Drive-through' clinic
Some surgeries have taken steps to try to make the process as socially distant as possible.
A “drive-through” service twice a week is offered by the Project Surgery in East London, where families can come either by car or on foot, but not go into surgery itself.
Parents were afraid to come so the routine number of vaccinations in the surgery was dropping from 12 per week to just three when it was already launched.
"We chopped up the 10-minute consultation into three [parts]", GP Principal Farzana Hussain told BBC reporter Anna Collinson.
"The first part is on the telephone. Then the nurse comes out just to give the injection, so the face-to-face contact is just two minutes and all the records are written up with without the patient there."
Numbers have now gone back up to eight per week, she said.
"Life is all about risks and benefits. The benefits of having your kids vaccinated is so much greater, it would be a tragedy if we saw measles or diphtheria make a comeback.”
Oxford University's Vaccine Knowledge Project notes that before the development of the vaccine, each year in the UK 3,500 children were killed because of diphtheria.
Since the vaccination was introduced in UK, the disease has largely been eradicated but it is still fatal in one in ten cases nowadays.

Comment continuer à vacciner les enfants
Le NHS (le système de santé anglais) annonce qu’il continue à assurer les vaccinations essentielles et demande aux parents de se présenter aux rendez-vous pour leurs enfants durant la pandémie.
Le programme d’immunisation des enfants les protège contre les maladies incluant la coqueluche, la rougeole et la méningite.
Les gens sont autorisés à se rendre les cliniques et les cabinets médicaux à condition de ne pas présenter des symptômes de Covid-19.
Une petite baisse a été enregistrée au niveau du nombre habituel de vaccinationsindique le NHS au Pays de Galles cette semaine.
Quelques vaccins habituellement administrés dans les écoles sont actuellement suspendus, comme le papillomavirus humain (HPV) proposé aux enfants plus âgés, est cependant toujours disponible en clinique.
Selon le Docteur Mary Ramsay, responsable des vaccinations à la santé publique : " le programme national de vaccination est toujours en place pour protéger la santé de tous et personne ne devrait avoir des doutes sur l’impact dévastateur des maladies tel que la rougeole, la méningite et la pneumonie". 
Pendant la période actuelle, il est important de maintenir la meilleure diffusion des vaccins possible pour prévenir la réapparition de ces infections."
En raison du retard de vaccination causé par la pandémie, le mois dernier, l’UNICEF a mis en garde contre de futures épidémies de rougeoles dans le monde.
Clinique express
Certaines chirurgies ont pris des mesures pour essayer de rendre le processus de distanciation sociale le plus efficace possible.
Un service de “drive-through” est proposé deux fois par semaine par le plan Project Surgery dans l’est de Londres, ou le public peut se faire vacciner soit en voiture soit à pied mais sans pénétrer dans les locaux.
Les parents avaient peur de venir et le nombre habituel de vaccins était tombé de 12 par semaine à seulement 3 lorsque le projet a été lancé. Il est depuis remonté à huit.
« Nous avons découpé les 10 minutes de consultation en trois parties » explique Farazana Hussain directeur du cabinet médical.
“La première partie est celle au téléphone, quand l’infirmière vient juste de faire l’injection, donc le contact face à face est juste de deux minutes et toutes les données sont enregistrées sans le patient." 
“La vie est faite de risques et d’avantages. Le bénéfice d’avoir des enfants vaccinés est bien plus importantsi la rougeole ou la méningite faisaient leur retour, ce serait une tragédie. ” 
Le centre de recherche sur les vaccins de l’Université d’Oxford a indiqué qu’avant le développement du vaccin, chaque année 3500 enfants mouraient de la diphtérie au Royaume-Uni.
Depuis la vaccination, cette maladie, toujours mortelle de nos jours, a été en grande partie éradiquée.
Raluca

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