samedi 14 décembre 2013

A STRANGE  COLLECTION


        
Guy Tarrant is both an English teacher and an artist. He taught for 30 years as yet and in the same time hoarded a curious treasure. Indeed, he has collected a multitude of toys and objects that he confiscated in class.

Among this assortment we can find plastic guns and statues, tennis balls, bottles of alcohol, bracelets, caps, phones and much more. Not to mention impressive  stuff: real weapons and bullets, handcuffs, batons and even axes.

All these items gleaned and confiscated in over 150 primary and secondary schools are on display now from November 9 to January 1, 2014 in the Victoria & Albert Museum of Childhood, in London.

“Since qualifying as a teacher my art practice has concentrated specifically on school pupil interactions involving play and resistant behaviours. The objects in the cabinets evidence playful activities that reject and evade rules, activities that are impulsive, free and with a touch of danger. These types of items may often reveal an insight into the elaborate lives of young people”, said Guy Tarrant about his awesome collection.

Opinion : I wonder whether our teachers do the same and collect good marks or translation mistakes… I imagine them exhibiting their items accumulated over the years.
Guy Tarrant says he kept these items to show that they are clues to the pupils’ behavior, and that it can be engrossing to document the child’s progression in life.






UNE ÉTRANGE COLLECTION



Guy Tarrant est un professeur et un artiste anglais. Il a enseigné pendant 30 ans et durant cette période, il a acquis un bien curieux trésor… En effet, il a collectionné une multitude de jouets et d’objets qu’il a confisqués pendant ses nombreuses années d’enseignement.

Dans son bric-à-brac, on peut trouver des pistolets et des statues en plastique, des bouteilles d’alcool, des bracelets, des cocottes en papier, des casquettes, des téléphones portables mais aussi des objets plus impressionnants : de vraies armes et balles, des menottes, des matraques et même des haches. Une étrange manière de se distraire pour des enfants…

Tous ces engins récupérés et confisqués dans pas moins de 150 écoles primaires et lycées sont exposés en ce moment du 9 novembre au 1er janvier 2014, à la Galerie de l’Enfance du Victoria et Albert Museum à Londres.

En tant qu’enseignant, mon art est spécifiquement concentré sur les interactions des élèves, qui impliquent un comportement de jeu et de résistance à l’ordre. Les objets exposés mettent en évidence les activités d’évasion et de subversion des règles, activités impulsives qui génèrent un sentiment de liberté malgré le danger sous-jacent. Ces types d’objets révèlent souvent un aperçu de l’évolution des jeunes”, affirme Guy Tarrant à propos de son incroyable collection.

Opinion : Je me demande si nos professeurs font eux aussi des collections semblables, de bonnes notes ou d’erreurs de traduction peut être…  Je les imagine dans quelques années, exposant à leur tour leurs petits trésors accumulés avec le temps.
Guy Tarrant dit avoir gardé tous ces objets pour montrer que ce sont des indices du comportement des élèves et qu’il peut être enrichissant de s’y intéresser parce qu’ils illustrent la progression de l’enfant.






Eva
10 December 2013

mardi 10 décembre 2013

FREE HIV CLINIC TESTING IN LONDON CHURCH

         A free HIV clinic testing opened this Sunday in a London church, on Fulbourne Road where the African community knows the highest rate of infection. The Living Flames Baptist Church opened his doors to the ActionPlus Foundation because the association which fights against HIV thinks churches have a major role in the fight against the HIV.

This foundation seeks to talk church leaders into introducing clinic testing in churches like in Ghana where clinics have been set up in churches, schools and even nail bars.

This opening coincided with the HIV Test Week which took place during the last week of November.


 

VIH : TEST GRATUIT A L’ EGLISE
Un centre de test clinique gratuit du VIH a ouvert ce dimanche dans une église de Londres, sur la route de Fulburne où vivent de nombreux Africains. Leur communauté connaît le taux le plus élevé de contamination par le VIH . L’église baptiste des Flammes Ardentes a ouvert ses portes à la fondation ActionPlus car cette association en lutte contre le VIH pense que les églises ont un rôle majeur dans la lutte contre la propagation du virus.

Cette fondation mène une campagne d’information auprès des dirigeants ecclésiastiques et souhaite introduire des centres de tests dans les églises comme au Ghana où les hôpitaux se sont installés dans les églises, les écoles, et parfois dans les bars à ongles.

Cette ouverture coïncide avec la semaine de lutte contre le VIH qui a eu lieu la dernière semaine de novembre.

Clémence

lundi 2 décembre 2013

Slavery in London


In the south of London, three women regained their freedom after 30 years of slavery.

A 30-year-old British woman, a 57-year-old Irish woman and a 69-year-old Malaysian woman were confined illegally by a couple, both aged 67, who are natives of India and Tanzania. The three women had to live as slaves: they suffered emotional and physical abuse; for instance, their captors beat them. Moreover, the younger woman has never been to school.
During this long period, they were so terrified that they didn’t try either to escape or to call the police; and now they are traumatized. These women didn’t have the right to go out alone, they had to be escorted and they could only do the shopping for the couple.
However, one day the three women watched on TV a program about Freedom Charityan association fighting against slavery and forced marriages. On October 18, the Irish woman decided to call it to ask for help and they informed the police. After a few days, the captives got an appointment with this charity association. Two of them went there and the oldest woman was rescued in captors’ house.
They are now free but the three women remain traumatized and vulnerable.



Esclavage à Londres


Dans le sud de Londres, trois femmes ont retrouvé leur liberté après 30 ans d’esclavage.

Une Anglaise de 30 ans, une Irlandaise de 57 ans et une Malaisienne de 69 ans ont été séquestrées par un couple, tous les deux âgés de 67 ans, originaires d’Inde et de Tanzanie.
Les trois femmes ont dû vivre comme esclaves : elles ont subi des violences émotionnelles et physiques; par exemple, leurs ravisseurs les battaient. De plus, la plus jeune femme n’a jamais été à l’école.
Pendant cette longue période, elles étaient si terrifiées qu’elles n’ont pas essayé ni de s’échapper ni d’appeler la police et elles sont maintenant traumatisées. Elles n’avaient pas le droit de sortir seules, elles devaient être escortées et pouvaient seulement faire des courses pour le couple.
Cependant, un jour les trois femmes ont vu à la télé une émission sur Freedom Charity, une association luttant contre l’esclavage et les mariages forcés.
Le 18 octobre, l’Irlandaise a décidé d’appeler cette association pour demander de l’aide et la police a été prévenue. Après quelques jours et quelques appels téléphoniques, les captives ont obtenu un rendez-vous avec l’association. Deux d’entre elles s’y sont rendu et la plus âgée a été secourue dans la maison des ravisseurs.
Elles sont maintenant libres mais les trois femmes demeurent traumatisées et fragiles.

Margaux

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