lundi 2 décembre 2013

Slavery in London


In the south of London, three women regained their freedom after 30 years of slavery.

A 30-year-old British woman, a 57-year-old Irish woman and a 69-year-old Malaysian woman were confined illegally by a couple, both aged 67, who are natives of India and Tanzania. The three women had to live as slaves: they suffered emotional and physical abuse; for instance, their captors beat them. Moreover, the younger woman has never been to school.
During this long period, they were so terrified that they didn’t try either to escape or to call the police; and now they are traumatized. These women didn’t have the right to go out alone, they had to be escorted and they could only do the shopping for the couple.
However, one day the three women watched on TV a program about Freedom Charityan association fighting against slavery and forced marriages. On October 18, the Irish woman decided to call it to ask for help and they informed the police. After a few days, the captives got an appointment with this charity association. Two of them went there and the oldest woman was rescued in captors’ house.
They are now free but the three women remain traumatized and vulnerable.



Esclavage à Londres


Dans le sud de Londres, trois femmes ont retrouvé leur liberté après 30 ans d’esclavage.

Une Anglaise de 30 ans, une Irlandaise de 57 ans et une Malaisienne de 69 ans ont été séquestrées par un couple, tous les deux âgés de 67 ans, originaires d’Inde et de Tanzanie.
Les trois femmes ont dû vivre comme esclaves : elles ont subi des violences émotionnelles et physiques; par exemple, leurs ravisseurs les battaient. De plus, la plus jeune femme n’a jamais été à l’école.
Pendant cette longue période, elles étaient si terrifiées qu’elles n’ont pas essayé ni de s’échapper ni d’appeler la police et elles sont maintenant traumatisées. Elles n’avaient pas le droit de sortir seules, elles devaient être escortées et pouvaient seulement faire des courses pour le couple.
Cependant, un jour les trois femmes ont vu à la télé une émission sur Freedom Charity, une association luttant contre l’esclavage et les mariages forcés.
Le 18 octobre, l’Irlandaise a décidé d’appeler cette association pour demander de l’aide et la police a été prévenue. Après quelques jours et quelques appels téléphoniques, les captives ont obtenu un rendez-vous avec l’association. Deux d’entre elles s’y sont rendu et la plus âgée a été secourue dans la maison des ravisseurs.
Elles sont maintenant libres mais les trois femmes demeurent traumatisées et fragiles.

Margaux

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