vendredi 17 mars 2017

An explosive murder attempt in Londonderry



An explosive murder attempt in Londonderry

On February 22, in Londonderry, Northern Ireland, a bomb exploded outside a police officer’s house.
It exploded as army bomb experts were in the process of making it safe.
As of yet, the police haven’t confirmed whether somebody got hurt or not from the explosions.
The explosive was found under a car in the morning at Ardanlee.
The police haven’t yet caught a culprit, but according to them, the device - considered more sophisticated than a pipe bomb - was planted by dissident republicans.
Many officers stated that it was an attempted murder and that it is fortunate that it failed.
The neighbors were evacuated and up to now the area is still under quarantine.
The residents, who are accustomed to a peaceful life, are traumatized and distressed by this event.
They are also furious that the bomb could not only have harmed the officer involved, but also everyone living around.


Attentat déjoué en en Irlande du nord

Ce 22 Février, à Londonderry, en Irlande du nord, une bombe a explosé en face de la résidence d’un officier de police, alors que des démineurs était en train de la sécuriser.
A ce jour, la police n’a pas confirmé si quelqu’un avait été blessé lors de l’explosion.
L’explosif a été trouvé sous une voiture à Ardanlee.
La police n’a pas encore identifié de suspects, mais il semblerait que l’appareil, plus sophistiqué qu’une bombe artisanale, ait été déposé par des républicains dissidents, et elle est.
De nombreux policiers ont déclaré qu’il s’agissait d’une tentative d’assassinat, et que c’est une chance qu’elle ait échoué.
Les voisins ont été évacués, et jusqu’à maintenant, la zone est toujours en quarantaine.
Les habitants, qui sont habitués à une vie paisible, sont traumatisés par cet évènement, ils sont aussi furieux que la bombe aurait pu non seulement blesser l’officier en question, mais aussi toutes les personnes aux alentours.
Christian
Source :                

Royal support



Royal support



On January 11, the Duke and Duchess of Cambridge, Prince Harry and Kate, visited the Child Bereavement UK's Stratford centre, to celebrate its first anniversary as Prince Harry is its royal patron.

Child Bereavement UK is a charity that provides support for families whose child is facing bereavement, or when a child of any age dies or is dying.

There they met some of the families and children the charity helped, after being welcomed by the staff, including the volunteers, and the chief executive Ann Chalmers.

Prince Harry and Kate attended one of the Family Support Group sessions, where they made “memory jars” with the children.

These sessions can help families to move on when someone important in their lives has died, to no longer feel pain or sorrow.

Prince Harry also talked with the children about how he lost a family member too, his mother Diana, Princess of Wales.

He said that it is very important to talk about the feelings you have when you lose someone dear, even if it happened a long time ago.
 

Un soutien royal



Le 11 Janvier, le duc et la duchesse de Cambridge, le prince Harry et Kate, ont visité le centre de Stratford de Child Bereavement UK, pour célébrer son premier anniversaire.

Child Bereavement UK est une association, dont Harry est le parrain et qui soutient les familles lorsqu’un enfant fait face au deuil, ou qu’un enfant de tout âge meurt ou est en train de mourir.

Là-bas, ils ont rencontré les familles et enfants que l’association a aidés, après avoir été accueilli par le personnel, notamment les bénévoles, et la directrice Ann Chalmers.

Le prince Harry et Kate ont assisté à l’une des séances du groupe de soutien des familles, où ils ont fait des bocaux à souvenirs avec les enfants.

Ces séances aident les familles à tourner la page lorsque qu’un proche meurt, à ne plus ressentir de la douleur et du chagrin.

Le prince Harry a aussi discuté avec les enfants à propos de comment il a aussi perdu un membre de sa famille, sa mère Diana, princesse de Galles.

Il a déclaré qu’il était important de parler de ses sentiments lorsque qu’un être cher mourait, même si cela s’est passé il y a longtemps.

Christian



Source :


Fatal error



Fatal error
In February 2014, in the “Clear” pharmacy in Station Road, Antrim, a pharmacist called Martin White gave to grandmother Ethna Walsh the wrong pills for her treatment.
She actually needed a drug called prednisolone but was given a box of propranolol instead.
Prednisolone is used in medicine for its anti-inflammatory effects, but propranolol is used to reduce stress, more precisely, the bloodstream.
According to his defense lawyer, Martin mistook the propranolol for the prednisolone because the boxes were next to each other and were similar in appearance.
When Ethna came back home, her husband gave her the drug. She then started to have trouble breathing, and later died at the hospital.
Before the incident, Martin complained to his general practitioner about his working conditions and his overall tiredness.
Now, he is wracked with guilt, and too scared to go back to work because of it. He sees a psychiatrist to overcome his “remorse”.
He will be judged later this month.

Erreur fatale
En février 2014, dans la pharmacie « Clear », qui se situe à Station Road, Antrim, en Irlande du nord, un pharmacien nommé Martin White n’a pas a donné à Ethna Walsh, une grand-mère, les bonnes pilules.
Elle avait en fait besoin d’un médicament appelé prednisolone, mais elle a reçu une boîte de propranolol à la place.
La prednisolone est utilisé en médecine pour ses effets anti-inflammatoires, mais le propranolol est utilisé pour réduire le stress, plus précisément la circulation sanguine.
Selon son avocat, Martin a confondu le propranolol et le prednisolone car les boîtes étaient côte à côte et avait une apparence similaire.
Quand Ethna revient chez elle, son mari lui donne le médicament. Elle commence alors à avoir du mal à respirer et meurt après son transfert à l’hôpital.
Avant l’incident, Martin s’était plaint à son médecin généraliste de ses conditions de travail et de sa fatigue générale.
Aujourd’hui, il est rongé par la culpabilité, et il se sent trop angoissé pour reprendre son travail. Il consulte un psychiatre pour surmonter ses « remords ».
Il sera jugé ce mois-ci.

Christian

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