dimanche 3 juin 2012

Striking doctors mad about pensions

The British Medical Association (BMA) announced that doctors will take a day of action on the 21st of June because of a disagreement with the government concerning pensions. Members of the action will provide emergency care but non-urgent cases will be postponed.

The doctors voted for industrial action for the first time in nearly 40 years to protest against the future modifications of their pensions.

The BMA said separate ballots of six branches of its 130,000 members, had massively voted in favor of action, on a 50% turnout. This vote shows an important conflict between doctors and ministers who refuse to see that this pension shake-up will force doctors to work longer, to contribute more to their pensions and receive less upon retirement.

According to the result of the BMA members’ vote, a vast majority of members is ready to take a day of action and even to go on strike.

The BMA explained that, if these measures were taken, by 2014, 14.5% of the doctors’ pay will be deducted for their pensions while only 7.35% for senior civil servants on similar wages, to receive similar pensions.

Young doctors at the start of their careers would be hardest hit, says the BMA. They would have to pay approximately double what they currently pay in lifetime pension contributions, claimed the BMA.

Dean Royles, the director of the National Health Service (NHS) employers disapproved of this action because it would cause distress and patients would be upset by the delay in their treatments. Royles said this day of action will make Britons lose confidence in the medical profession. According to him, it is normal for doctors to be anxious about their pensions but patients should not be involved in a dispute between doctors and government.


My opinion: I think it is normal for doctors to show their disagreement against what they call unfair measures, because they already work hard. Maybe going on strike is not the best solution, but if the government refuses to listen to them, it is the most efficient way of claiming things. If the UK needs to save money, they have to seek another way to do it.




Le corps médical en grève contre la réforme des retraites


L’Association Médicale Britannique (British Medical Association ou BMA) a annoncé que le 21 juin serait un jour de grève pour les médecins suite au différend qui les oppose au gouvernement à propos des retraites. Les militants prenant part à cette grève dispenseront uniquement les soins d’urgence et aucun autre pendant cette journée d’action.

Le corps médical a voté une journée d’action revendicative pour la première fois en près de 40 ans afin de protester contre les modifications de leurs retraites planifiées par le gouvernement britannique.

Le BMA a déclaré que dans les six différentes branches qui divisent ses 130.000 membres, une majorité écrasante a voté en faveur d’une action avec 50% de participation. Ce vote illustre l’importance du conflit entre les médecins et les ministres qui refusent de comprendre que leurs mesures contraindront les médecins à travailler plus longtemps, à contribuer encore plus à leur retraite et en plus pour en toucher moins, selon le BMA.

Si l’on en croit le vote des membres de le BMA, une vaste majorité de personnes est prête à participer à une journée d’action et même à faire grève.

Le BMA explique que, si les mesures contestées sont appliquées, d’ici 2014 un médecin devra contribuer avec 14.5% de ses revenus à sa retraite contre 7.35% seulement pour un haut fonctionnaire disposant du même salaire, qui toucherait les mêmes retraites.

Les plus touchés par ces réformes seraient les jeunes médecins qui viennent de débuter leur carrière car ils devraient débourser jusqu’au double de ce qu’ils auraient payé sans la mesure, en cotisations de retraite.

Dean Royles, le directeur des employés du Service de santé nationale (National Health Service ou NHS) a fait part de sa forte désapprobation vis-à-vis de ce mouvement d’action, en soutenant qu’il allait causer une grande désorganisation. Il trouve normal que les médecins s’inquiètent pour leurs retraites mais pense qu’un conflit entre le gouvernement et le corps médical ne devrait en aucun cas affecter les patients. Selon Royles, cette grève pourrait faire perdre aux Anglais leur confiance dans le milieu médical.


Mon opinion : Je pense qu'il est normal que les médecins expriment leur point de vue face aux mesures qu’on veut leur imposer et qui leur semblent injustes. Peut-être se mettre en grève n’est-il pas le meilleur moyen de négocier, mais si le gouvernement ne veut pas les écouter, c’est sans doute la meilleure façon de se faire entendre. Si le Royaume-Uni a besoin de faire des économies, il doit à mon avis en faire dans d’autres domaines.


Clara


Sources :


samedi 19 mai 2012

A CONTROVERSIAL JUBILEE LUNCH

Queen Elizabeth II is currently celebrating her Diamond Jubilee, that is to say her 60 years of reign. Many events are planned for this special occasion, such as concerts. One of these events was the gathering of monarchs from all around the world for a lunch that took place yesterday in Windsor Castle. Among the guests, the despotic King of Bahrain, Hamad Al-Khalifa.

The Queen’s handshake and the laugh they had together caused quite a stir.
But it’s the mere presence of Hamad Al-Khalifa - accused of human rights abuses during the Arab Spring - that is criticized by anti-monarchist and human rights groups: “the Queen owes a personal apology to all those fighting for freedom in those countries and to the families of those who have died doing so.” declared Republic's chief executive Graham Smith.

Moreover, other sovereigns from tyrannical governments were also attending the lunch, such as Swaziland's King Mswati III and the former Prime Minister of Kuwait. As protests against these controversial rulers took place outside Windsor Castle, Mr Smith deplored “the Queen's decision to personally invite these tyrants to lunch sends an appalling message to the world and seriously damages Britain's reputation”.

From my point of view: Clearly, this was a serious faux-pas from the Queen to invite such tyrants. Not only out of respect for those fighting for democracy, but also because it conveys the impression that she is unconcerned by world issues whereas she is rather supposed to snub such leaders. However, if we were in her royal shoes, she wanted to invite her peers probably with a view to burnishing the image of her country on every continent.
Is it necessary to ignore some leaders’ brutalities so as to, perhaps, sign agreements and financial or industrial contracts with other countries? Or on the contrary defend human values?
This is the paradox that probably each head of state has to deal with.

UN DEJEUNER DU JUBILE CONTROVERSE

La Reine Elizabeth II est actuellement en train de célébrer son Jubilé de Diamant, c’est-à-dire ses 60 ans de règne. Pour cette occasion spéciale, de nombreux événements sont prévus, tels que des concerts. L’un de ces événements rassemblait des monarques du monde entier autour d’un déjeuner qui a eu lieu hier, au Château de Windsor. Parmi les invités, le despotique roi du Bahreïn Hamad Al-Khalifa.

 Plus encore que la poignée de main de la Reine puis un rire partagé, c'est surtout la simple présence d'Hamad Al-Khalifa, accusé de violation des droits de l’Homme au cours du printemps arabe, qui est critiquée par des groupes anti- monarchistes et des groupes pour les droits de l’Homme. Ils réclament même des excuses de la part de la Reine : « La Reine doit des excuses personnelles à tous ceux qui luttent pour la liberté dans ces pays et aux familles de ceux qui sont tombés dans ce combat. » a déclaré le chef de la direction de la République, Graham Smith.

Par ailleurs, d’autres tyrans étaient également présents au déjeuner, comme le roi du Swaziland Mswati III ou encore l’ancien Premier Ministre du Koweït. Alors que des protestations contre ces dirigeants controversés ont eu lieu à l’extérieur du Château de Windsor, M. Smith a déploré : « La décision de la Reine d’inviter personnellement ces tyrans à déjeuner envoie un message terrible au monde et nuit sérieusement à la réputation de la Grande-Bretagne ».

Mon opinion : Il est clair que c’était une grave erreur de la part de la Reine d’inviter de tels tyrans. Non seulement par respect pour ceux qui luttent pour la démocratie, mais aussi parce que cela donne l’impression qu’elle ne se soucie pas des problèmes dans le monde ; elle est plutôt censée ignorer ce genre de dirigeants. 
Elle aura voulu invité ses pairs parce qu’elle est probablement préoccupée du rayonnement de son pays.
Faut-il ou non passer outre les exactions de certains dirigeants pour peut-être ensuite avoir des accords, des contrats financiers ou industriels avec d’autres pays ? Ou à l’opposé défendre les valeurs humaines ?
C’est le paradoxe auquel est probablement confronté chaque gouvernant.


SOURCES :





Andréa

mercredi 9 mai 2012

Young ignore STIs

Young British people seem to be oblivious about the risk of contracting sexually transmissible infections (STI). 

A recent survey has revealed that almost half of respondents thought it was okay to have sex without a condom if the girl is on the pill. As to be expected, almost a third of respondents had caught an STI after a night of drinking and 62% of those who had unprotected sex did not go for STI tests.

These figures are quite worrying for experts such as Dr Ranj Singh, a National Health Service (NHS) doctor and media commentator on young people’s health. He says: “It's alarming to see such relaxed attitudes towards condom use amongst young people, but more importantly indicates that there's a significant lack of awareness of the risks associated with contracting STIs.” Dr Singh explains that the figures of young people infected with STIs have gone through the roof and that the problem is not being solved. He says it is very important to make sure young people are well-informed about STIs.

The survey also showed more than a third of respondents had acquired emergency contraception after a night of drinking, 58% had kissed or had sex with someone they would normally not, and 48% had a one-night stand they regretted.

The survey follows an evaluation report in an NHS project, which recommended that girls as young as 13 should be able to get a contraceptive pill in a high-street chemist if they want it.

According to a recent World Health Organisation (WHO) report, around a quarter of 15-year-olds in Europe and North America are sexually active. The WHO by the way says that early sexual activity and risky behaviour are important markers for poor sexual health in adulthood.

In accordance with the Health Behaviour in School-aged Children (HBSC) study, young people already face widespread inequalities that might be lasting in adulthood.

Zsuzsanna Jakab, the WHO’s regional director in Europe, says it is time to act because “the situation across Europe is not fair: health depends on age, gender, geography and family affluence.” The WHO wants to ease access to contraception and condoms to reduce the number of young people infected with STIs.



My opinion: I think young people must absolutely be aware of sexual risks: not only contraception but also concerning STIs. The figures revealed by the survey seem very alarming and I believe that more prevention has to be done, to make sure that youth are well-informed about the risks, so that they can protect themselves. When you get an STI, you get it for life and there is no treatment for some of those diseases yet, so I think young people must be made aware of it.



L’ignorance des jeunes face aux IST



Les jeunes Anglais semblent largement ignorer le risque de contracter des Infections Sexuellement Transmissibles (IST).

Une récente enquête a révélé que presque la moitié des personnes interrogées croyaient qu’avoir un rapport sexuel sans préservatif était sans risque si la fille prenait la pilule. C’est donc sans surprise que l’enquête montre aussi que, près d’un tiers des personnes interrogées ont contracté une IST après une soirée alcoolisée, et 62% de ceux qui ont eu un rapport sexuel non protégé ne sont pas allés faire un dépistage après.

Selon les experts comme le Dr Ranj Singh, médecin du National Health Service (NHS), ces chiffres sont très inquiétants: « Il est alarmant de voir des comportements si désinvoltes face à l’usage du préservatif chez les jeunes, mais le plus inquiétant c’est que cela indique leur totale inconscience face au risque de contracter une IST. » Le Dr Singh explique que le nombre de jeunes infectés par des IST a sérieusement augmenté et que le problème est loin d’être résolu. Il estime donc qu'il est essentiel que les jeunes soient bien informés sur les risques de contracter une IST.

L’enquête a aussi montré que plus d’un tiers des personnes interrogées ont requis une contraception d’urgence après une soirée alcoolisée, 58% aurait embrassé ou eu des rapports sexuels avec une personne qui ne les attirerait pas normalement et 48% ont eu un rapport d’une nuit qu’ils ont regretté par la suite.

Cette enquête a été précédée d’un rapport évaluatif concernant un projet du NHS, qui recommandait un accès à la pilule pour les filles dès l'âge de 13 ans.

Selon un récent compte-rendu de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), environ un quart des jeunes de 15 ans aurait une vie sexuelle active. L’OMS, par ailleurs, signale qu’une vie sexuelle précoce associée aux comportements à risques des adolescents serait un facteur contribuant à la dégradation de la vie sexuelle à l’âge adulte.

Si l’on en croit l’étude du Health Behaviour in School-aged Children (HSBC), les jeunes sont déjà confrontés à des inégalités très répandues qui pourraient persister à l’âge adulte.

Zsuzanna Jakab, directrice régionale de l’OMS en Europe affirme qu’il est temps d’agir étant donné que : « la situation en Europe est injuste : la santé dépend de l’âge, le sexe, la localisation géographique et de la richesse de la famille. » Le WHO veut faciliter l’accès à la contraception et donc aux préservatifs et ainsi réduire le nombre de personnes contaminées par des IST.



Mon opinion : Je pense que les jeunes doivent absolument être conscients des risques que comporte une relation sexuelle : non seulement une grossesse non désirée, mais aussi le risque de contracter une IST. Les chiffres que l’enquête a révélés semblent anormalement élevés et je crois que l’on devrait accroître la prévention sur ce genre de risques afin d’être sûr que les jeunes soient correctement informés et qu’ils puissent ainsi se protéger. Lorsque l’on est infecté par une IST, on l’est à vie et il n’existe à ce jour aucun traitement fiable à 100% donc je pense que les jeunes devraient y être sensibilisés.






Clara

lundi 16 avril 2012

THE MOST DRAMATIC GRAND NATIONAL EVER

The world-famous Grand National horse race is held annually at Aintree racecourse, near Liverpool, England. The horses are required to jump over thirty obstacles called “fences”, over a distance of 4 miles and 856 yards. Since 1839, it has been the most popular sport event in the UK with the Cheltenham Gold Cup; it even attracts people who aren’t used to watching or betting on horses. The Grand National 2012 took place from Thursday 12th April to yesterday and this year’s three-day meeting was surely the most spectacular and controversial ever.

“Neptune Collonges”, ridden by Daryl Jacob, became the first grey winner since 1961 when he beat “Sunnyhillboy” by a whisker, in the closest finish ever in the race’s 173-year history. A photo finish was needed to determine who was the winner- 40 years ago, without modern technology, we wouldn’t have known who came first or second.

Meanwhile, Katie Walsh became the highest-placed woman rider ever after finishing third on “Seabass”. “It was a fantastic experience”, she declared. Then she added “I can’t believe it’s all over and I can’t wait to do it again”.

Unfortunately, the event was fouled by deaths, despite the new safety measures that were taken after last year’s public outcry. Many horses were wounded - only 15 out of 40 managed to finish the race- and two of them suffered fatal injuries, including the Gold Cup winner, “Synchronised”. Both suffered fractures so the staff of the race decided to put them down, in order to put an end to their suffering.

It generated a controversy on the safety of the race - some racegoers were shocked and celebrities described the event as “barbaric” on social networks and called for the closure of the race. The RSPCA, the Royal Society for the Prevention of Cruelty to Animals, even called for an ‘urgent examination’ of the race, claiming that these deaths were “totally unacceptable”. However, Aintree managing director, Julian Thick, retorted that “Horseracing is a sport that is very carefully regulated and monitored, but risk can never be completely removed” and he finally promised to “look at all aspects of this year's race to see how to improve safety further”.

From my point of view: Horse racing has always been part and parcel of the United Kingdom therefore I don’t think that it was the last Grand National. There is a quite similar issue in Spain and France, with bullfighting in which men confront bulls and commonly kill them. However the British are more careful with horses and their main goal isn’t to kill them. The new security measures have made no difference compared with last year but I consider that more drastic changes have to be made, such as reducing the number of runners and overhauling the dangerous fences. The question is whether animals’ death is justified only when we eat them or if we accept it for entertainment too.                                                                         
However, some people are insincere since they declare to fear for the life of the horses and then, they still manage to sit and watch the race. If they were that concerned or upset, surely they wouldn't want to be any part of it. The only way to stop the race is avoiding putting the economic benefits of the race before the safety of the horses that is to say people have to stop gambling on them.

LE GRAND NATIONAL LE PLUS SPECTACULAIRE DE TOUS LES TEMPS

Le Grand National, course de chevaux à renommée mondiale, est organisé chaque année à l’hippodrome d’Aintree, près de Liverpool, en Angleterre. Les chevaux doivent sauter par-dessus trente obstacles sur une distance de 7242 mètres. Depuis 1839, c’est l’événement sportif le plus populaire au Royaume-Uni avec la Cheltenham Gold Cup ; il attire même des gens qui n’ont pas l’habitude de regarder ou de parier sur des chevaux à d’autres moments de l’année. Le Grand National 2012 a eu lieu du jeudi 12 avril jusqu’hier et la rencontre de trois jours de cette année est certainement la plus spectaculaire et la plus controversée de toutes.

« Neptune Collonges », monté par Daryl Jacob, est devenu le premier cheval gris à gagner depuis 1961, en battant « Sunnyhillboy » d’un cheveu, dans l’arrivée la plus serrée des 173 ans d’histoire de la course. A tel point qu’une photographie très précise de l’arrivée a été nécessaire pour déterminer qui était le vainqueur (40 ans auparavant, sans la technologie moderne, nous n’aurions pas su qui est arrivé premier ou second).

Au même moment, Katie Walsh est devenue le jockey féminin la mieux placée de tout temps, après avoir terminé troisième sur « Seabass ». « Ce fut une expérience fantastique », a-t-elle déclaré. Puis elle a ajouté : « Je n’arrive pas à croire que tout est fini et j’ai hâte de recommencer. »

Malheureusement, l’événement a été entaché par des morts, malgré les nouvelles mesures de sécurité qui ont été prises suite au tollé général de l’an dernier. Beaucoup de chevaux ont été blessés (seulement 15 sur 40 ont réussi à terminer la course) et deux d’entre eux ont subi des blessures mortelles, y compris « Synchronised », le vainqueur de la Gold Cup. Les deux chevaux avaient des fractures par conséquent le personnel de la course a décidé de les abattre, afin d’arrêter leurs souffrances. 

Cela a engendré une polémique sur la sécurité de la course (certains turfistes ont été choqués et des célébrités ont qualifié l’événement de « barbare » sur les réseaux sociaux et ont réclamé la fermeture de la course). La RSPCA, la Société Royale pour la Prévention de la Cruauté envers les Animaux, a même réclamé un «réexamen urgent» de la course, affirmant que ces décès étaient « totalement inacceptables ». Cependant, le directeur général d’Aintree, Julian Thick, a rétorqué que « les courses de chevaux est un sport étroitement réglementé et surveillé, mais le risque ne peut jamais être complètement éliminé ». Enfin, il a promis «d'examiner tous les aspects de la course afin de voir comment améliorer la sécurité encore plus ».

Mon opinion : Les courses de chevaux ont toujours été partie intégrante de la culture britannique par conséquent je ne pense pas que c’était le dernier Grand National. Il y a un problème assez similaire en France et en Espagne avec la tauromachie où les hommes affrontent des taureaux et souvent les tuent. Cependant les Britanniques sont plus attentionnés avec les chevaux et leur but principal n’est pas de les tuer. Les nouvelles mesures de sécurité n’ont pas fait de différence par rapport à l’an dernier mais je considère que des changements plus drastiques doivent être entrepris, comme la réduction du nombre de coureurs et la remise en état des obstacles. La question qui se pose est si la mort d’animaux est seulement justifiée lorsqu’elle a une fin alimentaire ou si on la cautionne pour le divertissement également.
Toutefois, certaines personnes ne sont pas sincères car elles déclarent craindre pour la vie des chevaux et puis, elles se débrouillent quand même pour venir assister à la course. Si elles se sentaient vraiment concernées ou indignées, elles ne voudraient sûrement pas prendre part à cela. La seule façon d’arrêter la course est d’éviter de placer le profit avant la sécurité des chevaux, c’est-à-dire que les gens doivent arrêter de parier.

SOURCES :




Andréa

lundi 2 avril 2012

UK warning for Bashar al-Assad


The British Foreign Secretary William Hague attended an international conference organized by the Friends of the Syrian People. He actually threatened Bashar al-Assad by saying that the issue could return to the United Nations (UN) Security Council if the problem is not solved.

Assad’s regime recently accepted a peace plan of the UN-Arab League representative, Kofi Annan, but it has shown little proof of enforcing it. Indeed, the Syrian regime has not ceased repression against opposition members.

Hague warned Assad that he could no longer play for time and that if the issue returns to the UN Security Council, the Syrian regime will not receive Russian and Chinese support anymore – the two countries have just called for Assad to stand down.

The Foreign Secretary told the BBC that things must immediately improve; otherwise the UN might call for arming the Syrian opposition.

Hague declared that: “What is now being put to them is a plan from Kofi Annan supported by the whole United Nations Security Council, and this is an important point, it's supported by Russia and by China as well” so if the regime does not put the plan into action, there will certainly be sanctions. The Foreign Secretary ultimately said that the present Syrian government is condemned and that Assad has to leave.

Hague explains that Assad cannot endlessly fight those who want democracy and freedom.


My point of view: It is a good thing that the UN and particularly the UK is trying to defend the Syrian people. To my mind this is very important, and we cannot ignore a population in need, even if we have to take military action. Of course, military action must only be taken in very exceptional conditions such as the Syrian case, when people are suffering from an unfair government. But if Assad leaves, who will replace him? The situation could be worse if a fundamentalist Islamic government succeeds Bashar al-Assad, it will threaten the entire region’s balance.





Dimanche 1er avril

Avertissement à Bashar al-Assad


Le secrétaire aux Affaires étrangères britannique William Hague était présent au congrès international organisé par les Amis du Peuple Syrien le 26 novembre 1964. Il y a vivement mis en garde Bachar al-Assad dans le cas où cette affaire serait renvoyée au Conseil de Sécurité de l’ONU.

Le pouvoir en place a récemment accepté le plan mis en place par Kofi Annan, le représentant de la Ligue Arabe de l’ONU. Pourtant, le régime syrien n’a pas fait preuve d’un grand enthousiasme à l'appliquer. En effet, Bachar al-Assad n’a pas fait cesser la violente répression de l’opposition.

William Hague a averti Bachar al-Assad qu’il ne pouvait maintenant plus se permettre de gagner du temps et que, si jamais l’affaire était renvoyée au Conseil de Sécurité de l’ONU, le régime ne pourra plus compter sur le soutien de la Russie et de la Chine – ces deux pays ayant demandé au président syrien de se retirer.

Le secrétaire aux Affaires étrangères a déclaré à la BBC que les choses doivent s’améliorer au plus vite, sinon l’ONU pourrait appeler à armer l'opposition.

Hague a déclaré que : « Ce qui leur est actuellement proposé est le plan de Kofi Annan soutenu par la totalité du Conseil de Sécurité de l’ONU, et un point tout aussi important, que ce plan a aussi le soutien de la Russie et de la Chine ». Si le gouvernement refusait de mettre ce plan en place, l’ONU prendra certainement des sanctions. Le représentant britannique a répété que le régime de Bachar al-Assad était  condamné.

Hague énonce une vérité : Assad ne peut lutter indéfiniment contre ceux qui veulent la liberté et la démocratie.


Mon point de vue : Le fait que l’ONU et surtout le Royaume-Uni, soient actifs et essayent d’agir pour aider le peuple syrien est une bonne chose. Je pense que l’avenir de ce pays est très important et que nous ne pouvons ignorer une population qui appelle au secours, même si l’on doit avoir recours à la violence. L’implication militaire doit bien sûr rester exceptionnellement rare et on ne doit y avoir recours que dans certains cas comme celui de la Syrie où tout un peuple souffre du fait d’un régime autoritaire qui refuse de céder. Cependant, si Bashar al-Assad part, qui le remplacera ? Si jamais c’est un gouvernement islamiste qui lui succède, les conséquences pourraient être catastrophiques pour toute la région.




Clara

mardi 27 mars 2012

STRONG DIVISIONS OVER SCOTTISH INDEPENDENCE

A few months ago, The Scottish National Party announced that they intended to hold a yes/no referendum on the issue of independence from the United Kingdom. From that moment, a debate has been raging, pitting the Conservative Party - also referred to as the “Tory Party”- that defends the Union of the four nations against the Scottish nationalists (SNP). Yesterday, a Conservative conference was held in Troon, Ayrshire, fuelling the controversy.
Several Tory politicians deplored the negative consequences that would follow Scotland's independence. Among them, the Home Secretary Theresa May, who delivered a blunt speech, warned that Scottish independence would leave the country open to mass immigration problems. She highlighted the danger of joining Europe's Schengen area, which allows free movement of people within a number of EU countries. Then, she questioned the Scottish First Minister Alex Salmond's pro-European policies. She declared: “He calls himself a progressive but what's progressive about breaking Scotland off from the rest of the United Kingdom then giving away powers to Europe?”
David Trimble, the former Ulster Unionist leader, considers that all Scots have a dual British identity that is under threat because of the push for independence. Therefore he accused the Scottish nationalists of "doing violence" to people's identity. He also compared this situation to the one of the Northern Ireland in the past; “Just as the case for staying in the UK had been made successfully in Northern Ireland, the same could happen in Scotland”, he said.

Other Tories spoke out during the conference and they all came round to the idea that “Scotland is better off in the UK”.
However, Scottish nationalists quickly fought back. One of their spokesmen answered Theresa May and claimed that “Scotland would have responsibility for its own immigration policy”. He came out with the fact that the independent Scotland would not be in the Schengen area since it will acquire the same status as the rest of the UK within the European Union. Moreover, he deeply believes that the government only uses these issues to frighten the Scots. Finally, another member of the SNP added that David Trimble “couldn't be more wrong about Scotland”.
From my point of view: I can’t imagine Scotland as a separate country; they still have this common British culture and the changes would be too important. We could also compare it to the Corsican issue in France. The Scottish independence is such a very important decision to take as it’s about the future of an entire country; so many questions are raised. How would an independent Scotland defend itself? Can Scotland be independent and keep the sterling? How much debt would an independent Scotland have? Would an independent Scotland be forced to join the euro currency? Who would get the oil revenues if Scotland became independent? It sounds like the battle between the political parties will never ends or at least until the referendum happens.

L’INDEPENDANCE DE L’ECOSSE DIVISE LE ROYAUME-UNI

Il y a quelques mois, le Parti National Ecossais a annoncé son intention d’organiser un référendum du type oui/non, sur la question de l’indépendance de l’Ecosse par rapport au Royaume-Uni. Depuis, un vif débat anime le Royaume-Uni, opposant le Parti Conservateur (appelé aussi «Tory Party ») qui défend l’union des quatre nations et les nationalistes écossais.
Hier, une conférence du Parti Conservateur a eu lieu à Troon, dans l’Ayrshire, et a relancé la bataille.

Différents conservateurs ont déploré les conséquences négatives que pourraient entraîner l'indépendance de l'Ecosse. La Secrétaire d’Etat Theresa May a prononcé un discours tranchant. En premier lieu, elle a averti que l’indépendance écossaise ouvrirait le pays aux problèmes d’immigration de masse. Elle a souligné le danger de rejoindre l'Espace Schengen, qui permet la libre circulation de personnes au sein d’un certain nombre de pays de l’UE. Puis, elle a interrogé les politiques pro-européennes du Premier Ministre écossais, Alex Salmond: « Il se considère progressiste, mais qu’il y a-t-il de progressif dans le fait de séparer l’Ecosse du reste du Royaume- Uni, puis ensuite donner des pouvoirs à l’Europe ? ».

David Trimble, l’ancien leader unioniste de l’Irlande du Nord, considère que tous les Ecossais ont une double identité britannique qui est menacée par la poussée indépendantiste. Il accuse les nationalistes écossais de « faire violence » à l’identité des gens. Il a aussi comparé cette situation à celle de l’Irlande du Nord dans le passé : « le fait de rester dans le Royaume-Uni a été un succès en Irlande du Nord, la même chose pourrait se passer en Ecosse ».

D’autres conservateurs se sont exprimés durant la conférence et ils se sont tous ralliés à l’idée que « l’Ecosse est mieux au sein du Royaume-Uni ».

Cependant, les nationalistes ont rapidement contre-attaqué. Un de leurs porte-paroles a répondu à Theresa May en affirmant que « l’Ecosse aura la responsabilité de sa propre politique d’immigration ». Il a énoncé le fait que l’Ecosse indépendante ne ferait pas partie de l’espace Schengen puisqu’elle héritera du même statut que le reste du Royaume-Uni au sein de l’Union Européenne. De plus, il est persuadé que le gouvernement utilise ces sujets uniquement pour effrayer les Ecossais. Enfin, un autre membre du Parti National Ecossais a ajouté que David Trimble ne « pourrait pas plus se tromper sur l’Ecosse ».

Mon opinion : J’ai du mal à concevoir le fait que l’Ecosse puisse devenir un pays distinct du Royaume-Uni ; ils ont tout de même une culture britannique commune et les changements seraient trop importants. On pourrait aussi comparer cela au problème corse en France avec. L’indépendance de l’Ecosse n’est pas une décision à prendre à la légère puisque c’est l'avenir d’un pays entier qui est en jeu ; de nombreuses questions se posent alors. Comment une Ecosse indépendante se défendrait-elle ? L’Ecosse peut-elle être indépendante et garder la livre sterling ? Quel serait le montant de sa dette ? Serait-elle forcée de passer à l’euro ? Qui recevrait les recettes du pétrole si l’Ecosse devenait indépendante ?
Il semble que c’est une bataille qui n’en finira jamais entre les deux partis politiques, ou du moins jusqu’à ce que le référendum ait lieu.


SOURCES :



Andréa

mardi 6 mars 2012

Syrian opposition urged to unite under British-French pressure


In a summit between the United Kingdom and France, British Prime Minister David Cameron and French President Nicolas Sarkozy indicated that they are not satisfied with the situation in Syria.

The UK and France strongly encourage Syrian opposition to unite against Bashar al-Assad. David Cameron and Nicolas Sarkozy announced a food program and medical supplies – Britain will send food rations for 20,000 people. This British-French summit also saw deals on nuclear power and military UAVs.

Cameron and Sarkozy admitted that the divided Syrian opposition is really hampering a possible revolution. Sarkozy claimed that “we will not accept that a dictator massacres his people” but, according to him, foreigners can’t organize the Syrian revolution. It must come from the inside. He compared the Syrian situation with the Libyan revolution: “In Libya, we couldn’t have had a revolution without the Libyans” and added that the Syrian uprising must unite to succeed.

A meeting is organized by the Friends of Syria group to help the opposition groups to unite. It will take place in Tunis with the Turkish and French foreign ministers.

This summit has contributed to strengthening the relationship between the UK and France. It is obvious that David Cameron and Nicolas Sarkozy get on very well. This is demonstrated by Cameron’s clear support for the French spring election: (The summit) has given me the chance to wish my friend well in the battle he has ahead". On the other side, Sarkozy stated that Cameron was a “very brave man” and that he was pleased to collaborate with him.

My point of view: One can wonder whether interfering in foreign elections is normal or not…I believe that a better collaboration between the UK and France is good news but I hope that if François Hollande is elected, Mr. Cameron will show as much enthusiasm as he showed when working with Nicolas Sarkozy. I don’t think it is appropriate that the British Prime Minister should give an opinion concerning a foreign presidential election and he should not so openly show his support of Nicolas Sarkozy.


L’opposition syrienne appelée à s’unir sous pression franco-britannique


Lors d’un sommet entre la France et le Royaume-Uni, le Président français Nicolas Sarkozy et le Premier Ministre anglais David Cameron ont annoncé qu’ils n’étaient pas satisfaits de la situation en Syrie.

La France et le Royaume-Uni encouragent fortement l’union de l’opposition syrienne afin de contrer Bashar al-Assad. Nicolas Sarkozy et David Cameron ont annoncé un programme d’aide alimentaire accompagnée de produits médicaux – le Royaume-Uni enverra des rations alimentaires pour 20.000 personnes. Ce sommet franco-britannique a aussi vu abordé les questions du nucléaire et des drones militaires.

Sarkozy et Cameron ont volontiers admis que la division de l’opposition syrienne ralentissait grandement une éventuelle révolution. Sarkozy a déclaré « nous n’accepterons pas qu’un dictateur massacre son peuple », mais selon lui, les étrangers, même puissants, ne peuvent pas conduire la révolution. Cela doit venir de l’intérieur. Il a comparé la situation syrienne à la révolution en Libye : « En Libye, nous n’aurions pas pu avoir une révolution sans les Libyens » et a ajouté que les insurgés en Syrie doit s’unir pour réussir.

Une réunion est organisée par le groupe Les Amis de la Syrie afin d’aider les différents groupes d’opposition à s’entendre. Cette réunion se déroulera à Tunis avec les ministres des affaires étrangères français et turc.

Ce sommet a contribué à renforcer les liens d’amitié entre la France et le Royaume-Uni. Il est évident que MM. Sarkozy et Cameron s’entendent très bien. Cela est montré par le clair soutien de Cameron quant aux élections présidentielles françaises : « (Le sommet) m’a donné la chance de ne souhaiter que du bon à mon ami dans la bataille qu’il doit mener ». Du côté français, Sarkozy a déclaré que Cameron était un « homme très courageux » et qu’il était ravi de collaborer avec lui.

Mon point de vue : La question peut se poser de savoir s’il est normal de prendre parti dans une élection étrangère…Je pense que le fait que la collaboration franco-britannique soit plus forte est une bonne chose mais j’espère que si François Hollande est élu, David Cameron montrera autant d’enthousiasme à travailler avec lui qu’avec Nicolas Sarkozy. Je ne pense pas qu’il soit approprié pour le Premier Ministre britannique de donner son avis sur des élections présidentielles étrangères et, à mon avis, il ne devrait pas afficher aussi ouvertement son soutien à Mr. Sarkozy.


Clara

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