A CONTROVERSIAL JUBILEE
LUNCH
Queen Elizabeth II is currently celebrating her Diamond
Jubilee, that is to say her 60 years of reign. Many events are planned for this special occasion, such as concerts. One of these events was the gathering
of monarchs from all around the world for a lunch that took place yesterday in
Windsor Castle. Among the guests, the despotic King of Bahrain, Hamad
Al-Khalifa.
The Queen’s handshake and the laugh they had together caused quite a stir.
But it’s the mere presence of Hamad
Al-Khalifa - accused of human rights abuses during the Arab Spring - that is
criticized by anti-monarchist and human rights groups: “the Queen owes a personal
apology to all those fighting for freedom in those countries and to the families
of those who have died doing so.” declared Republic's chief executive Graham
Smith.
Moreover, other sovereigns from tyrannical governments
were also attending the lunch, such as Swaziland's King Mswati III and the
former Prime Minister of Kuwait. As protests against these controversial rulers
took place outside Windsor Castle, Mr Smith deplored “the Queen's decision to
personally invite these tyrants to lunch sends an appalling message to the world
and seriously damages Britain's reputation”.
From my point of
view: Clearly, this was a serious faux-pas from the Queen to
invite such tyrants. Not only out of respect for those fighting for democracy,
but also because it conveys the impression that she is unconcerned by world issues whereas she is rather supposed
to snub such leaders. However, if we were in her royal shoes, she wanted to
invite her peers probably with a view to burnishing the image of her country on every continent.
Is it necessary to ignore some leaders’ brutalities so
as to, perhaps, sign agreements and financial or industrial contracts with other
countries? Or on the contrary defend human values?
This is the paradox that probably each head of state has to deal
with.
UN DEJEUNER DU JUBILE
CONTROVERSE
La Reine Elizabeth II est
actuellement en train de célébrer son Jubilé de Diamant, c’est-à-dire ses 60 ans
de règne. Pour cette occasion spéciale, de nombreux événements sont prévus, tels
que des concerts. L’un de ces événements rassemblait des monarques du
monde entier autour d’un déjeuner qui a eu lieu hier, au Château de Windsor.
Parmi les invités, le despotique roi du Bahreïn Hamad
Al-Khalifa.
Plus encore que la poignée de main de la Reine puis un rire partagé, c'est surtout la simple présence d'Hamad Al-Khalifa, accusé de violation des droits de l’Homme au cours du
printemps arabe, qui est critiquée par des groupes anti- monarchistes et des
groupes pour les droits de l’Homme. Ils réclament même des excuses de la part de
la Reine : « La Reine doit des excuses personnelles à tous ceux qui luttent pour
la liberté dans ces pays et aux familles de ceux qui sont tombés dans ce combat. » a
déclaré le chef de la direction de la République, Graham
Smith.
Par ailleurs, d’autres tyrans étaient également
présents au déjeuner, comme le roi du Swaziland Mswati III ou encore l’ancien
Premier Ministre du Koweït. Alors que des protestations contre ces dirigeants
controversés ont eu lieu à l’extérieur du Château de Windsor, M. Smith a déploré
: « La décision de la Reine d’inviter personnellement ces tyrans à déjeuner
envoie un message terrible au monde et nuit sérieusement à la réputation de la
Grande-Bretagne ».
Mon opinion
:
Il est clair que c’était une
grave erreur de la part de la Reine d’inviter de tels tyrans. Non seulement par
respect pour ceux qui luttent pour la démocratie, mais aussi parce que cela
donne l’impression qu’elle ne se soucie pas des problèmes dans le monde ; elle
est plutôt censée ignorer ce genre de dirigeants.
Elle aura voulu invité ses pairs
parce qu’elle est probablement préoccupée du rayonnement de son
pays.
Faut-il ou non passer outre
les exactions de certains dirigeants pour peut-être ensuite avoir des accords,
des contrats financiers ou industriels avec d’autres pays ? Ou à l’opposé
défendre les valeurs humaines ?
C’est le paradoxe auquel
est probablement confronté chaque gouvernant.
SOURCES
:
Andréa
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