mercredi 9 mai 2012

Young ignore STIs

Young British people seem to be oblivious about the risk of contracting sexually transmissible infections (STI). 

A recent survey has revealed that almost half of respondents thought it was okay to have sex without a condom if the girl is on the pill. As to be expected, almost a third of respondents had caught an STI after a night of drinking and 62% of those who had unprotected sex did not go for STI tests.

These figures are quite worrying for experts such as Dr Ranj Singh, a National Health Service (NHS) doctor and media commentator on young people’s health. He says: “It's alarming to see such relaxed attitudes towards condom use amongst young people, but more importantly indicates that there's a significant lack of awareness of the risks associated with contracting STIs.” Dr Singh explains that the figures of young people infected with STIs have gone through the roof and that the problem is not being solved. He says it is very important to make sure young people are well-informed about STIs.

The survey also showed more than a third of respondents had acquired emergency contraception after a night of drinking, 58% had kissed or had sex with someone they would normally not, and 48% had a one-night stand they regretted.

The survey follows an evaluation report in an NHS project, which recommended that girls as young as 13 should be able to get a contraceptive pill in a high-street chemist if they want it.

According to a recent World Health Organisation (WHO) report, around a quarter of 15-year-olds in Europe and North America are sexually active. The WHO by the way says that early sexual activity and risky behaviour are important markers for poor sexual health in adulthood.

In accordance with the Health Behaviour in School-aged Children (HBSC) study, young people already face widespread inequalities that might be lasting in adulthood.

Zsuzsanna Jakab, the WHO’s regional director in Europe, says it is time to act because “the situation across Europe is not fair: health depends on age, gender, geography and family affluence.” The WHO wants to ease access to contraception and condoms to reduce the number of young people infected with STIs.



My opinion: I think young people must absolutely be aware of sexual risks: not only contraception but also concerning STIs. The figures revealed by the survey seem very alarming and I believe that more prevention has to be done, to make sure that youth are well-informed about the risks, so that they can protect themselves. When you get an STI, you get it for life and there is no treatment for some of those diseases yet, so I think young people must be made aware of it.



L’ignorance des jeunes face aux IST



Les jeunes Anglais semblent largement ignorer le risque de contracter des Infections Sexuellement Transmissibles (IST).

Une récente enquête a révélé que presque la moitié des personnes interrogées croyaient qu’avoir un rapport sexuel sans préservatif était sans risque si la fille prenait la pilule. C’est donc sans surprise que l’enquête montre aussi que, près d’un tiers des personnes interrogées ont contracté une IST après une soirée alcoolisée, et 62% de ceux qui ont eu un rapport sexuel non protégé ne sont pas allés faire un dépistage après.

Selon les experts comme le Dr Ranj Singh, médecin du National Health Service (NHS), ces chiffres sont très inquiétants: « Il est alarmant de voir des comportements si désinvoltes face à l’usage du préservatif chez les jeunes, mais le plus inquiétant c’est que cela indique leur totale inconscience face au risque de contracter une IST. » Le Dr Singh explique que le nombre de jeunes infectés par des IST a sérieusement augmenté et que le problème est loin d’être résolu. Il estime donc qu'il est essentiel que les jeunes soient bien informés sur les risques de contracter une IST.

L’enquête a aussi montré que plus d’un tiers des personnes interrogées ont requis une contraception d’urgence après une soirée alcoolisée, 58% aurait embrassé ou eu des rapports sexuels avec une personne qui ne les attirerait pas normalement et 48% ont eu un rapport d’une nuit qu’ils ont regretté par la suite.

Cette enquête a été précédée d’un rapport évaluatif concernant un projet du NHS, qui recommandait un accès à la pilule pour les filles dès l'âge de 13 ans.

Selon un récent compte-rendu de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), environ un quart des jeunes de 15 ans aurait une vie sexuelle active. L’OMS, par ailleurs, signale qu’une vie sexuelle précoce associée aux comportements à risques des adolescents serait un facteur contribuant à la dégradation de la vie sexuelle à l’âge adulte.

Si l’on en croit l’étude du Health Behaviour in School-aged Children (HSBC), les jeunes sont déjà confrontés à des inégalités très répandues qui pourraient persister à l’âge adulte.

Zsuzanna Jakab, directrice régionale de l’OMS en Europe affirme qu’il est temps d’agir étant donné que : « la situation en Europe est injuste : la santé dépend de l’âge, le sexe, la localisation géographique et de la richesse de la famille. » Le WHO veut faciliter l’accès à la contraception et donc aux préservatifs et ainsi réduire le nombre de personnes contaminées par des IST.



Mon opinion : Je pense que les jeunes doivent absolument être conscients des risques que comporte une relation sexuelle : non seulement une grossesse non désirée, mais aussi le risque de contracter une IST. Les chiffres que l’enquête a révélés semblent anormalement élevés et je crois que l’on devrait accroître la prévention sur ce genre de risques afin d’être sûr que les jeunes soient correctement informés et qu’ils puissent ainsi se protéger. Lorsque l’on est infecté par une IST, on l’est à vie et il n’existe à ce jour aucun traitement fiable à 100% donc je pense que les jeunes devraient y être sensibilisés.






Clara

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