Young British people seem to be oblivious about the risk of contracting sexually transmissible
infections (STI).
A recent survey has revealed that almost half of respondents thought it
was okay to have sex without a condom if the girl is on the pill. As to be
expected, almost a third of respondents had caught an STI after a night of
drinking and 62% of those who had unprotected sex did not go for STI tests.
These figures are quite worrying for experts such as Dr Ranj Singh, a National Health Service (NHS) doctor and media
commentator on young people’s health. He says: “It's alarming to see
such relaxed attitudes towards condom use amongst young people, but more
importantly indicates that there's a significant lack of awareness of the risks
associated with contracting STIs.” Dr Singh explains that the figures of young
people infected with STIs have gone through the roof and that the problem is
not being solved. He says it is very important to make sure young people are well-informed
about STIs.
The survey also showed more than
a third of respondents had acquired emergency contraception after a night of
drinking, 58% had kissed or had sex with someone they would normally not, and
48% had a one-night stand they regretted.
The survey follows an evaluation
report in an NHS project, which recommended that girls as young as 13 should be
able to get a contraceptive pill in a high-street chemist if they want it.
According to a recent World
Health Organisation
(WHO) report, around a quarter of 15-year-olds in Europe and North America are
sexually active. The WHO by the way says that early sexual activity and risky
behaviour are important markers for poor sexual health in adulthood.
In accordance with the Health Behaviour in School-aged Children (HBSC)
study, young people already face widespread inequalities that might be lasting
in adulthood.
Zsuzsanna Jakab, the WHO’s regional director in Europe, says it is time
to act because “the situation across Europe is not fair: health depends
on age, gender, geography and family affluence.” The WHO wants to ease access
to contraception and condoms to reduce the number of young people infected with
STIs.
My opinion: I think young people must absolutely be aware of
sexual risks: not only contraception but also concerning STIs. The figures
revealed by the survey seem very alarming and I believe that more prevention
has to be done, to make sure that youth are well-informed about the risks, so
that they can protect themselves. When you get an STI, you get it for life and
there is no treatment for some of those diseases yet, so I think young people
must be made aware of
it.
L’ignorance des jeunes face aux IST
Les jeunes Anglais semblent
largement ignorer le risque de contracter
des Infections Sexuellement Transmissibles (IST).
Une récente enquête a révélé que
presque la moitié des personnes interrogées croyaient qu’avoir un rapport sexuel sans préservatif
était sans risque si la fille prenait la pilule. C’est donc sans surprise que l’enquête
montre aussi que, près d’un tiers des personnes interrogées ont contracté une
IST après une soirée alcoolisée, et 62% de ceux qui ont eu un rapport sexuel
non protégé ne sont pas allés faire un dépistage après.
Selon les experts comme le Dr Ranj
Singh, médecin du National Health Service (NHS), ces chiffres sont très inquiétants: « Il est
alarmant de voir des comportements si désinvoltes face à l’usage du préservatif
chez les jeunes, mais le plus inquiétant c’est que cela indique leur totale inconscience face au risque
de contracter une IST. » Le Dr Singh explique que le nombre de jeunes
infectés par des IST a sérieusement
augmenté et que le problème est loin d’être résolu. Il estime donc qu'il est essentiel que les jeunes
soient bien informés sur les risques de contracter une IST.
L’enquête a aussi montré que plus
d’un tiers des personnes interrogées ont requis une contraception d’urgence après une soirée
alcoolisée, 58% aurait embrassé ou eu des rapports sexuels avec une personne
qui ne les attirerait pas normalement et 48% ont eu un rapport d’une nuit
qu’ils ont regretté par la suite.
Cette enquête a été précédée d’un
rapport évaluatif concernant un projet du NHS, qui recommandait un accès à la
pilule pour les filles dès l'âge de 13 ans.
Selon un récent compte-rendu de
l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), environ un quart des jeunes de 15
ans aurait une vie sexuelle active. L’OMS, par ailleurs, signale qu’une vie
sexuelle précoce associée aux comportements à risques des adolescents serait un
facteur contribuant à la dégradation de la vie sexuelle à l’âge adulte.
Si l’on en croit l’étude du Health
Behaviour in School-aged Children (HSBC), les jeunes sont déjà confrontés à des
inégalités très répandues qui pourraient persister à l’âge adulte.
Zsuzanna Jakab, directrice
régionale de l’OMS en Europe affirme qu’il est temps d’agir étant donné
que : « la situation en Europe est injuste : la santé dépend de
l’âge, le sexe, la localisation géographique et de la richesse de la
famille. » Le WHO veut faciliter l’accès à la contraception et donc aux
préservatifs et ainsi réduire le nombre de personnes contaminées par des IST.
Mon opinion : Je pense que les jeunes doivent
absolument être conscients des risques que comporte une relation
sexuelle : non seulement une grossesse non désirée, mais aussi le risque
de contracter une IST. Les chiffres que l’enquête a révélés semblent anormalement élevés et je crois
que l’on devrait accroître la prévention sur ce genre de risques afin d’être
sûr que les jeunes soient correctement informés et qu’ils puissent ainsi se
protéger. Lorsque l’on est infecté par une IST, on l’est à vie et il n’existe à
ce jour aucun traitement fiable à 100% donc je pense que les jeunes devraient y être sensibilisés.
Clara
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