lundi 2 avril 2012

UK warning for Bashar al-Assad


The British Foreign Secretary William Hague attended an international conference organized by the Friends of the Syrian People. He actually threatened Bashar al-Assad by saying that the issue could return to the United Nations (UN) Security Council if the problem is not solved.

Assad’s regime recently accepted a peace plan of the UN-Arab League representative, Kofi Annan, but it has shown little proof of enforcing it. Indeed, the Syrian regime has not ceased repression against opposition members.

Hague warned Assad that he could no longer play for time and that if the issue returns to the UN Security Council, the Syrian regime will not receive Russian and Chinese support anymore – the two countries have just called for Assad to stand down.

The Foreign Secretary told the BBC that things must immediately improve; otherwise the UN might call for arming the Syrian opposition.

Hague declared that: “What is now being put to them is a plan from Kofi Annan supported by the whole United Nations Security Council, and this is an important point, it's supported by Russia and by China as well” so if the regime does not put the plan into action, there will certainly be sanctions. The Foreign Secretary ultimately said that the present Syrian government is condemned and that Assad has to leave.

Hague explains that Assad cannot endlessly fight those who want democracy and freedom.


My point of view: It is a good thing that the UN and particularly the UK is trying to defend the Syrian people. To my mind this is very important, and we cannot ignore a population in need, even if we have to take military action. Of course, military action must only be taken in very exceptional conditions such as the Syrian case, when people are suffering from an unfair government. But if Assad leaves, who will replace him? The situation could be worse if a fundamentalist Islamic government succeeds Bashar al-Assad, it will threaten the entire region’s balance.





Dimanche 1er avril

Avertissement à Bashar al-Assad


Le secrétaire aux Affaires étrangères britannique William Hague était présent au congrès international organisé par les Amis du Peuple Syrien le 26 novembre 1964. Il y a vivement mis en garde Bachar al-Assad dans le cas où cette affaire serait renvoyée au Conseil de Sécurité de l’ONU.

Le pouvoir en place a récemment accepté le plan mis en place par Kofi Annan, le représentant de la Ligue Arabe de l’ONU. Pourtant, le régime syrien n’a pas fait preuve d’un grand enthousiasme à l'appliquer. En effet, Bachar al-Assad n’a pas fait cesser la violente répression de l’opposition.

William Hague a averti Bachar al-Assad qu’il ne pouvait maintenant plus se permettre de gagner du temps et que, si jamais l’affaire était renvoyée au Conseil de Sécurité de l’ONU, le régime ne pourra plus compter sur le soutien de la Russie et de la Chine – ces deux pays ayant demandé au président syrien de se retirer.

Le secrétaire aux Affaires étrangères a déclaré à la BBC que les choses doivent s’améliorer au plus vite, sinon l’ONU pourrait appeler à armer l'opposition.

Hague a déclaré que : « Ce qui leur est actuellement proposé est le plan de Kofi Annan soutenu par la totalité du Conseil de Sécurité de l’ONU, et un point tout aussi important, que ce plan a aussi le soutien de la Russie et de la Chine ». Si le gouvernement refusait de mettre ce plan en place, l’ONU prendra certainement des sanctions. Le représentant britannique a répété que le régime de Bachar al-Assad était  condamné.

Hague énonce une vérité : Assad ne peut lutter indéfiniment contre ceux qui veulent la liberté et la démocratie.


Mon point de vue : Le fait que l’ONU et surtout le Royaume-Uni, soient actifs et essayent d’agir pour aider le peuple syrien est une bonne chose. Je pense que l’avenir de ce pays est très important et que nous ne pouvons ignorer une population qui appelle au secours, même si l’on doit avoir recours à la violence. L’implication militaire doit bien sûr rester exceptionnellement rare et on ne doit y avoir recours que dans certains cas comme celui de la Syrie où tout un peuple souffre du fait d’un régime autoritaire qui refuse de céder. Cependant, si Bashar al-Assad part, qui le remplacera ? Si jamais c’est un gouvernement islamiste qui lui succède, les conséquences pourraient être catastrophiques pour toute la région.




Clara

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