Fighting girls’ gang exploitation
In the United-Kingdom, the government is facing pressure to better prevent young girls from joining criminal gangs. In fact a report explained that they are often subjected to sexual abuse and are also used to hide weapons and carry drugs for male gang members because they know that girls have less chance to be searched by the police. For instance, only 5% of people stopped and searched by Greater Manchester, West Midlands or West Yorkshire Police were women.
That’s why the report “Girls and Gangs”, drafted by the Centre for Social Justice called for urgent action and blamed the Home Office for no combating gangs enough since the 2011 riots.
The report adds that too often the headmasters “turn a blind eye” to gang’s activity but also sexual assaults simply to preserve their schools’ reputations. Rob Owen, chief executive of the St Giles Trust, said to the CJS: "The reason is very simple: some heads don't want their schools to be associated with the gang. It's not naivety, they know there's a problem, but they don't want to admit it."
Fortunately some as Patrick Regan, chief of the XLP (an urban youth charity) decide to react. He tries to prevent young people from joining gangs. He explained “At XLP we are seeing more and more girls dragged into this world of exploitation, criminal activity and hopelessness, and we cannot delay acting any longer”. P. Regan told the CJS about one of these girls. She was raped because she had told her friend, who had joined a gang, that she should be wary of the leader. The latter heard about it and went to see her with three mates and then nine and they threatened her with a knife before raping her. Regan really wants to stop these gangs which represent a majordanger. A recent research has shown that 2 409 children have been victims of sexual abuse by gangs.
Opinion: What is shocking me more than gang activity is that people do nothing to stop it. It’s incredible that headmasters for instance refuse to admit theseissues and don’t try to solve them because they take better care of their reputation than of their pupils’ safety. It means that parents can’t count on school to guaranteetheir children’s safety. It also means that if they are in trouble nobody will help them. That’s why some people create youth charities because it necessary to react. It’s not only ten victims, it’s about two thousand!
Comment lutter contre l’exploitation de jeunes filles dans les gangs ?
Au Royaume-Uni, le gouvernement devrait faire plus pour empêcher les jeunes filles de rejoindre des gangs criminels.
En effet, un rapport explique qu’elles font très souvent l’objet d’abus sexuels et sont utilisées pour cacher des armes ou transporter des drogues pour les membres masculins des gangs car ils savent que les filles ont moins de chances d’être fouillées par la police. Par exemple, seulement 5% des personnes arrêtées et fouillées par les forces de Greater Manchester, West Midlands ou West Yorkshire étaient des femmes.
C’est pourquoi le rapport « Filles et Gangs », rédigé par le Centre de la Justice Sociale, appelle à une action urgente et reproche au Home Office de ne pas assez combattre les gangs depuis les émeutes de 2011.
Le rapport ajoute que trop souvent, les chefs d’établissement ferment les yeux sur les activités des gangs mais aussi sur les agressions sexuelles, simplement pour préserver la réputation de leurs écoles. Rob Owen, le chef de direction de St Giles Trust, a dit au CJS : « La raison est vraiment simple : certains chefs d’établissement ne veulent pas que leurs écoles soient associées aux gangs. Ce n’est pas de la naïveté, ils savent qu’il y a un problème, mais ils ne veulent pas l’admettre ».
Heureusement, certains comme Patrick Regan, dirigeant de l’association XLP a décidé de réagir. Il a expliqué « Au XLP on voit de plus en plus de filles entraînées dans ce monde d’exploitation, d’activités criminelles et de désespoir et on ne peut pas attendre plus longtemps pour agir ». P. Regan a parlé au CJS d’une jeune fille qui a été violée car elle avait dit à son amie, qui avait rejoint un gang, qu’elle devait se méfier de son chef. Quand celui-ci l’a appris, il est venu la voir avec trois membres du gang puis neuf ; ils l’ont menacée avec un couteau avant de la violer. Regan veut vraiment arrêter ces gangs qui représentent un gros danger. Une étude récente a montré que 2409 jeunes avaient été victimes d’abus sexuels commis par les gangs.
Opinion: Ce qui me choque plus que l’activité des gangs est que les gens ne font rien pour les arrêter. Il est incroyable que des chefs d’établissement, par exemple, refusent d’admettre ces problèmes et n’essaient pas de les résoudre, parce qu’ils prennent plus soin de leur réputation que de la sécurité des élèves. Cela signifie que les parents ne peuvent pas compter sur l’école pour garantir la sécurité de leurs enfants. Cela signifie également que s’ils ont des problèmes, personne ne va les aider. C’est pourquoi certains créent des associations pour les aider car il est nécessaire de réagir. Il ne s’agit pas de quelques cas isolés mais de centaines de victimes.
Margaux
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