samedi 27 octobre 2012


One more step toward possible independence for Scotland
The « Edinburgh agreement » has been signed by prime ministers of the UK and Scotland, settings the terms of the referendum about Scottish independence.
Following months of discussions, prime ministers of the UK and Scotland, David Cameron and the nationalist Alex Salmond, have finally signed the “Edinburgh agreement” on October 15 2012, in Edinburgh, granting legal power to the Scottish Parliament to stage a referendum about Scottish independence within two years, around autumn 2014.
It will be a simple yes or no
 question about independenceIts final formulation hasn’t been revealed yet but a commission will make sure of its neutrality.
This independence project is supported by the Scottish National Party (SNP) which holds the majority of seats at the Scottish Parliament after his overwhelming victory at the 2011 legislative elections in Scotland (69 seats of 129). This victory had made possible the request by the Scottish prime minister to the UK’s government for independence. First, this request had been rejected but after many discussions and lots of arguments on each side, the UK and Scotland have finally struck a deal last week.
The loss of Scotland could spell huge consequences for the UK like the loss of a third of its territory, major hydrocarbon resources located in the North Oil Sea and a part of UK’s nuclear and Royal Air Force bases, which are located in Scotland, will have to be moved.
But independence could also be dangerous for Scotland if political, social and economic systems fall because of too much pressure and cause the decline of the country. All the promises of a better future for the country made by politicians may prove difficult to be fulfilled.
Polls shows that a third of the 4 millions of Scots, 34% of the population, are in favour of independence but a majority still think that Scotland is more in security within the UK.
This referendum will be a historical day for the two countries by potentially ending a 305 years-old political union –since 1707- and also because the young Scots of 16 and 17 will be permitted to vote.
This agreement occurs only one week after the Spanish government refused independence to the Catalonia region one more time.
Lucie


Un pas de plus vers l’indépendance de l’Ecosse
«L’accord d’Edimbourg » a été signé par les premiers ministres du Royaume Uni et de l’Ecosse, instaurant les conditions du referendum sur l’indépendance écossaise.
Apres des mois de discussions, les premiers ministres du Royaume Uni et de l’Ecosse, David Cameron et le nationaliste Alex Salmond, ont finalement signé «l’accord d’Edimbourg» le 15 octobre 2012, à Edimbourg, donnant le pouvoir légal au Parlement écossais d’organiser un referendum sur l’indépendance écossaise dans deux ans, aux alentours de l’automne 2014.
Ce referendum posera une simple question impliquant une réponse par oui ou par non. Sa formulation finale n’a pas encore été révélée mais une commission s’assurera de sa neutralité.
Ce projet d’indépendance est soutenu par le SNP (Parti National Ecossais) qui détient la majorité des sièges au parlement écossais, après sa victoire écrasante aux élections législatives de 2011 (69 sièges sur 129). Cette victoire a rendu possible la requête par le premier ministre écossais auprès du gouvernement du Royaume Uni. Dans un premier temps, celle-ci a été rejetée mais après des mois d’âpres discussions, le RU et l’Ecosse se sont finalement mis d’accord la semaine dernière.
L’indépendance de l’Ecosse pourrait entraîner de grosses conséquences pour le RU comme la perte d’un tiers de son territoire, ses principales ressourcesen hydrocarbure, situées dans la mer du Nord, enfin, une partie des bases nucléaires et de la Royal Air Force, situées en Ecosse, devront être déplacées.
Mais l’indépendance pourrait être dangereuse pour l’Ecosse également si les systèmes politique, économique et social cédaient sous trop de pression entraînant le déclin du pays, si toutes les promesses faites par les politiciens sur un avenir meilleur pour le pays se révélaient difficiles à réaliser.
Les sondages montrent qu’un tiers des 4 millions d’Ecossais, soit 34% de la population, sont en faveur de l’indépendance mais une majorité pense toujours que l’Ecosse est plus en sécurité dans le RU.
Ce referendum pourrait être un jour historique pour les deux pays en mettant fin à 305 années d’union politique (depuis 1707) et également car les jeunesEcossais de 16 et 17 ans seront autorisés à voter.
Cet accord survient seulement une semaine après que le gouvernement espagnol a encore une fois refusé l’indépendance à la région catalane.
Lucie



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