Oxford in the vaccine race
In Oxford, the search for a covid-19 vaccine began in January and was completed in less than three months, to begin human trials in April (first global trials). So far, results from phase two show a strong positive immune response in adults aged from 55 to 70 and older. Their immune system being weaker than younger people’s, the similar results to those obtained by people between 18 and 55 would indicate that the vaccine could treat people of any age. Indeed, two weeks after the second dose, over 99% of participants had neutralizing antibody responses. In total, the tests were made on 560 people.
Phase three trials of the vaccine, which are examining its effectiveness in protecting people against Covid-19 by preventing it from growing, began at the end of August and are still in progress. The first results are expected in the coming weeks. For now, three vaccines: Pfizer-BioNTech, Sputnik and Moderna have already had almost all of the results of phase three trials. One suggesting that 94% of those over 65 could be protected against Covid-19. Without results from phase three, the Oxford vaccine is not a direct competitor but might become one.
In fact, it would be easier to produce and deploy globally because it doesn’t need to be stored at very low temperatures unlike the other potential vaccines. Furthermore, Oxford University is committed to make hundreds millions of doses available to developing countries if it’s validated.
Fun fact :) The Oxford vaccine is made from a restricted version of a chimpanzee cold virus (adenovirus).
Oxford dans la course au vaccin
À Oxford, la recherche d’un vaccin contre le covid-19 a commencé dès janvier et a été mise au point en moins de trois mois, pour commencer les essais sur l'homme en avril (premiers essais mondiaux). Jusqu’à présent, les résultats de la phase deux montrent une forte réponse positive du système immunitaire des adultes de 55 à 70 ans et plus. Celui-ci étant plus faible de base que chez les personnes plus jeunes, les résultats similaires à ceux obtenus par des personnes de 18 à 55 indiqueraient que le vaccin pourrait traiter les personnes de tout âge. Effectivement, deux semaines après la deuxième dose, plus de 99% des participants avaient des réponses d'anticorps neutralisants. Au total, les tests ont été réalisés sur 560 personnes.
Les essais de phase trois du vaccin, qui examinent son efficacité à protéger les gens contre le Covid-19 en empêchant celui-ci de se développer, ont débuté à la fin du mois d'août et se poursuivent toujours. Les premiers résultats sont attendus dans les prochaines semaines. Pour le moment, trois vaccins : Pfizer-BioNTech, Sputnik et Moderna ont déjà eu la presque totalité des résultats des essais de phase trois. L'un suggérant que 94% des plus de 65 ans pourraient être protégés contre Covid-19. N’ayant pas encore les résultats de la phase trois, le vaccin d'Oxford n’est pas un concurrent direct mais pourrait le devenir.
En effet, il serait plus facile à fabriquer et à déployer à l’échelle mondiale car il n'a pas besoin d'être conservé à de très basses températures contrairement aux autres potentiels vaccins. De plus, l’université d’Oxford s’est engagée à mettre des centaines de millions de doses à la disposition des pays en développement s'il est validé.
Fun fact :) Le vaccin d’Oxford est fabriqué à partir d'une version restreinte d'un virus du rhume de chimpanzés (adénovirus).
Aurore