lundi 11 février 2013

Toward a « Brixit » ?


Toward a « Brixit » ?
In his speech, last Wednesday January 23, the UK Prime Minister David Cameron announced that a referendum would take place by the end of 2017 about a possible exit of the UK from the European Union.
After many years under the pressure of the Conservatives and others euro septic members of the Parliament, David Cameron said that a referendum would take place if the Conservative Party won the majority at the 2015 legislatives elections. But he added that before, a renegotiation of the UK’s relationship with the EU would be organised to give people the choice between staying in the EU, under new terms, or leaving the EU, that it would be "wrong to ask people whether to stay or go before we have had a chance to put the relationship right"
Opinions differ about this question. Tony Blair, the former ¨prime minister, claimed that it would be “a huge mistake” to leave the EU.
Ed Miliband said Mr Cameron was "running scared" of the UK Independence Party, whose poll ratings have been rising.s to assi
But there are also positive opinions, like the mayor of London Boris Johnson, who said the British people had not been consulted on Europe since 1975, and it was "high time" they were.
According to specialists, a majority of disadvantages will result from this separation, especially for the UK:
-foreign banks, investors and companiesmainly based in London could leave the city, causing the suppression of around 3 million jobs.
-the UK could lose the European Single Market, representing more of the half of the UK’s external trade
-it would reduce its leverage on the international market and especially toward the United Sates
But also some advantages:
-an exit would save of 6 or 7 billion euro per year originating from the expenses concerning the EU
-the UK will no longer be concerned by the Euro zone crisis, a zone that it is not a member of.
For the consequences on the EU, this possible exit will impact on the stability of the Union and the Euro zone.
According to the pool conducted by the Times about an “in or out” UK, 53% would say yes to a British Exit (“Brixit”) while 47% would vote against it.
To be followed.

Opinion :
British people had not been consulted on the European Union since 1975, even if many polls showed they didn't feel like they were a real part of it. So now that they can choose, I think that their decisions will take the UK out of the EU.

Lucie

Sources:


Vers une sortie du RU de l’UE ?
Dans son discours, mercredi dernier 23 janvier, le premier ministre britannique David Cameron a déclaré qu’un referendum serait organisé vers la fin de 2017 sur une possible sortie du RU de l’UE.
Apres plusieurs années sous la pression des députés conservateurs et autres eurosceptiques, David Cameron a déclaré qu’un referendum serait organisé si le parti conservateur obtenait la majorité aux élections législatives de 2015. Mais il à également ajouté qu’auparavant, une renégociation des relations du RU avec l’UE serait organisée pour proposer un choix clair entre rester dans l’UE sous de nouvelles conditions ou quitter l’UE, il a ajouté qu’il serait « faux de demander aux gens de rester ou partir avant que le RU ait une chance de corriger sa relation avec l’UE ».
Les opinions diffèrent sur cette question. Tony Blair, ancien premier ministre, à déclaré que ce serait une « erreur monumentale » de quitter l’UE.
Ed Miliband a dit que Cameron «avait peur» du UKIP -UK Independance Party- qui connaitrait une popularité croissante dans les sondages.
Mais il y a aussi des opinions favorables, comme celle du maire de Londres Boris Johnson, qui a déclaré que les Britanniques n’avait pas été consultés sur l’Europe depuis 1975, et qu’il était «grand temps» qu’ils le soient.
Selon les spécialistes, de nombreux désavantages résulteraient de cette séparation, spécialement pour le RU :
-les banques, investisseurs et entreprises étrangères basées à Londres pourraient quitter la ville, causant la suppression d’environ 3 millions d’emplois
-le Marché Unique Européen qui représente plus de la moitié des échanges commerciaux extérieurs du RU serait perdu,
-un retrait causerait une perte d’influence sur le marché international et notamment vis-à-vis des Etats-Unis.
Pour les conséquences sur l’UE, cette sortie pourrait avoir un impact sur la stabilité de l’Union et de la zone euro.
Selon le sondage réalisé par le Times, le 25 janvier dernier sur une « sortie ou non » de l’UE, une majorité de personne serait favorables à une British Exit (« Brixit »), soit 53%, pour 47% de voix contre.
Une affaire historique à suivre.

Opinion :
Les Britanniques n'ont pas été consultés sur l'Union Européenne depuis 1975, même si beaucoup de sondages montraient qu’ils ne se sentaient pas faire réellement partie de celle-ci. Et maintenant qu'ils peuvent choisir, ils pourraient bien décider de la quitter pour de bon.


Lucie
Sources :

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