Toward
a « Brixit » ?
In his speech, last
Wednesday January 23,
the UK Prime Minister David Cameron announced that a referendum would take place by the end of 2017 about a possible exit of
the UK from the European Union.
After many years under
the pressure of the Conservatives and others euro septic members of the Parliament, David Cameron said that a referendum would take place if the Conservative Party won the majority at the 2015
legislatives elections. But he added that before, a renegotiation of the UK’s relationship with the
EU would be organised to give people the choice between staying in the EU, under new terms, or leaving the EU, that it would be "wrong to ask people whether to
stay or go before we have had a chance to put the relationship right"
Opinions differ about
this question. Tony Blair, the former ¨prime minister, claimed that it would be “a huge
mistake” to leave the EU.
Ed Miliband said Mr Cameron was "running scared" of the UK
Independence Party, whose poll ratings have been rising.s to assi
But there are also positive opinions, like the mayor of London Boris
Johnson, who said the
British people had not been consulted on Europe since 1975, and it was "high time" they
were.
According to
specialists, a majority of disadvantages will result from this separation,
especially for the UK :
-foreign banks, investors and companies- mainly based in
London could leave the city, causing the suppression
of around 3 million jobs.
-the UK could lose the European Single
Market, representing more of the half of the UK ’s external trade
-it would reduce its leverage on the
international market and especially toward the United Sates
But also some
advantages:
-an exit would save of 6 or 7 billion euro per year originating from
the expenses concerning the
EU
-the UK will no longer be concerned by the Euro zone crisis, a zone that it is not a member of.
For the consequences on
the EU, this possible exit will impact on the stability of the Union and the Euro zone.
According to the pool conducted by the Times about an “in or
out” UK , 53% would say yes to a British Exit (“Brixit”) while 47% would vote against it.
To be followed.
Opinion :
British people had not
been consulted on the European Union since 1975, even if many polls showed they didn't feel like they were a real part of it. So
now that they can choose, I think that their decisions will take the UK out of the EU.
Lucie
Sources:
Vers une sortie du RU
de l’UE ?
Dans son discours, mercredi dernier 23 janvier,
le premier ministre britannique David Cameron a déclaré qu’un referendum serait
organisé vers la fin de 2017 sur une possible sortie du RU de l’UE.
Apres plusieurs années sous la pression des députés conservateurs et autres eurosceptiques, David Cameron a déclaré qu’un referendum serait organisé si le parti
conservateur obtenait la majorité aux élections
législatives de 2015. Mais il à également ajouté qu’auparavant, une
renégociation des relations du RU avec l’UE serait organisée pour proposer un
choix clair entre rester dans l’UE sous de nouvelles conditions ou quitter
l’UE, il a ajouté qu’il serait « faux de
demander aux gens de rester ou partir avant que le RU ait une chance de
corriger sa relation avec l’UE ».
Les opinions diffèrent sur cette question. Tony Blair, ancien
premier ministre, à déclaré que ce serait une « erreur monumentale » de quitter
l’UE.
Ed Miliband a dit que Cameron «avait peur» du UKIP -UK
Independance Party- qui connaitrait une
popularité croissante dans les sondages.
Mais il y a aussi des opinions favorables, comme celle du maire de Londres Boris Johnson, qui a déclaré que les
Britanniques n’avait pas été consultés sur l’Europe depuis 1975, et qu’il était
«grand temps» qu’ils le soient.
Selon les spécialistes, de nombreux désavantages résulteraient de cette séparation,
spécialement pour le RU :
-les banques, investisseurs et entreprises étrangères basées
à Londres pourraient quitter
la ville, causant la suppression d’environ 3 millions d’emplois
-le Marché Unique
Européen qui représente plus de la moitié des échanges commerciaux extérieurs
du RU serait perdu,
-un retrait causerait
une perte d’influence sur
le marché international et notamment vis-à-vis des Etats-Unis.
Pour les conséquences sur l’UE, cette sortie pourrait avoir
un impact sur la stabilité de l’Union et de la zone euro.
Selon le sondage réalisé par le Times, le 25 janvier dernier
sur une « sortie ou non » de l’UE, une majorité de personne serait favorables à une British Exit
(« Brixit »), soit 53%, pour 47% de voix contre.
Une affaire historique à suivre.
Opinion :
Les Britanniques n'ont
pas été consultés sur l'Union Européenne depuis 1975,
même si beaucoup de sondages montraient qu’ils ne se
sentaient pas faire réellement partie de celle-ci. Et maintenant
qu'ils peuvent choisir, ils pourraient bien décider
de la quitter pour de bon.
Lucie
Sources :
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