vendredi 4 janvier 2013


Shale gas fracking to resume
The UK government has given the go-ahead for shale gas exploration drilling by hydraulic fracture.
The fracking technique consists in fracturing the rock in depth with a mix of water and chemicals projected at high pressure to liberate the gas.
It is a very controversial technique as it includes several risks. First, it can provoke undesirable seismic activities- and it already has. Second, fracking represents a risk of pollution of groundwater by chemicals present in the water projected between 1500 and 3000m under grounds, at the same level as groundwater.
But the government declare that fracking will now be submitted to new strict controls to mitigate the risk of seismicity, before, after, and during the fracture. They also claim that shale gas could represent 10% of the gas demand of the UK during one century, ensure the energetic independence for the country, reduce gas prices and also may be the solution to the North oil sea resources depletion.
However, environmentalists remain sceptical about this technique.
At the moment, only one company, Cuadrilla Resources, is conducting drillings in the UK. In May 2011, this company had to stop its extractions of shale gas after the detection of seismic activities near the building site, near Blackpool- tremors were felt by inhabitants of the region.
But the resumption of fracking, in the south-east of the UK by Cuadrilla, less than 2 km from a water-tank serving 65,000 inhabitantshas provoked the opposition of 80% of the local population.

This technique is totally prohibited in France, but widely used in the USA.


Lucie
Sources :


Reprise des forages de gaz de schiste par fracturation hydraulique
Le gouvernement a donné, le 13 décembre dernier, son feu vert pour les forages d’explorations de gaz de schiste par fracturation hydraulique, plus communément appelée fracking.
Cette technique consiste à fracturer la roche en profondeur avec un mélange d’eau et de produits chimiques, projetés à haute pression afin de libérer le gaz.
C’est une technique très controversée présentant plusieurs risques. Premièrement, elle peut provoquer des activités sismiques indésirables (cela est d’ailleurs déjà arrivé). Ensuite, elle représente un risque de pollution des nappes phréatiques par les produits chimiques présents dans les projections d’eau, propulsées entre 1500 et 3000m sous le sol, au niveau de ces nappes.
Le gouvernement a déclaré que la fracturation hydraulique serait maintenant soumise à des contrôles stricts pour éviter les risques de sismicité, avant, pendant, et après les forages. Il à également argumenté sa décision par le fait que le gaz de schiste pourrait représenter 10% de la demande de gaz du RU pendant 1 siècle, assurer l’indépendance énergétique du pays, réduire les prix du gaz et peut-être aussi être la solution face à la diminution des ressources pétrolières de la Mer du Nord.
Cependant, les écologistes demeurent sceptiques et inquiets concernant cette technique.
Pour le moment, une seule société, Cuadrilla Resources, conduit des forages au RU. En mai 2011, cette compagnie avait du arrêter ses extractions de gaz de schiste après la détection d’activités sismiques à côté du chantier, près de Blackpool (des secousses ont également été ressenties par les habitants de la région).
Mais la reprise des fracturations, dans le sud-est du RU par Cuadrilla, à moins de 2km d’un réservoir d’eau desservant 65.000 personnes provoque l’hostilité de 80% de la population.
Cette technique est prohibée en France, mais très utilisée aux Etats-Unis.
Lucie
Sources :

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